Cervantes

Hoy es el día más hermoso de nuestra vida, querido Sancho; los obstáculos más grandes, nuestras propias indecisiones; nuestro enemigo más fuerte, el miedo al poderoso y a nosotros mismos; la cosa más fácil, equivocarnos; la más destructiva, la mentira y el egoísmo; la peor derrota, el desaliento; los defectos más peligrosos, la soberbia y el rencor; las sensaciones más gratas, la buena conciencia, el esfuerzo para ser mejores sin ser perfectos, y sobretodo, la disposición para hacer el bien y combatir la injusticia dondequiera que esté.

MIGUEL DE CERVANTES
Don Quijote de la Mancha.
La Colmena no se hace responsable ni se solidariza con las opiniones o conceptos emitidos por los autores de los artículos.

31 de octubre de 2025

Venezuela : alerte maximale… mais sans alarmisme

 Assiégé par des opérations psychologiques permanentes, et par une force militaire menant des exécutions extrajudiciaires contre des citoyens latino-américains dans les Caraïbes et le Pacifique, le Venezuela se prépare activement au pire des scénarios, sans pour autant renoncer à la normalité et à la joie de vivre qui le caractérisent.

Par Clodovaldo Hernández

Aujourd’hui, dans n’importe quelle ville vénézuélienne, on peut soudain voir défiler un convoi militaire transportant du matériel et des armes que l’on n’a l’habitude d’apercevoir que lors des grandes fêtes nationales comme le 24 juin ou le 5 juillet. Pourtant, ce qui retient le plus l’attention, ce ne sont ni les véhicules ni l’arsenal, mais les personnes qui les dirigent et les accompagnent : un mélange hétérogène de soldats et de civils. Il ne s’agit pas de la mobilisation classique de troupes professionnelles ou de conscrits que l’on voit habituellement lors des défilés militaires ou des manœuvres d’entraînement. Marchent côte à côte des officiers et militaires de carrière, des membres de la « milice » – civils ayant reçu une formation militaire – ainsi que des volontaires plus récents, beaucoup encore en tenue civile, qui font pour la première fois l’expérience de monter à bord d’un véhicule de combat ou d’un camion Beiben 6×6 de fabrication chinoise.

Alors qu’en Occident, les décisions militaires sont confinées à des cercles fermés sous commandement états-unien, le Venezuela mobilise un « peuple en armes » sur la base de l’éducation populaire, de la participation consciente, et volontaire. Face aux sous-traitances mercenaires de l’Occident, il possède l’avantage moral : la motivation interne d’être le peuple qui joua le rôle principal dans la libération de l’Amérique Latine face à l’impérialisme espagnol, grâce à Bolivar et à son armée d’ex-esclavisé(e)s. Étrange « dictature » que cette démocratie participative occultée par les médias parce qu’elle est un exemple dangereux pour des peuples désireux de s’émanciper. Où un gouvernement élu distribue massivement des armes aux citoyen(ne)s, ce que Salvador Allende n’avait pu faire. Où des milliers d’autogouvernements populaires ressuscitent les rêves assassinés des communard(e)s de tant d’époques et de pays.

L’union civico-militaire – équation politique créée par Hugo Chávez pour libérer son peuple de la domination des États-Unis et de l’oligarchie locale, rebaptisée par Nicolás Maduro « fusion populaire-militaire-policière » – attire d’autant plus le regard que l’on y retrouve de nombreux seniors et, surtout, des femmes de tous âges ayant relevé le défi de se préparer à une éventuelle agression militaire des États-Unis. Mais ce qui saute essentiellement aux yeux de l’observateur, c’est que ces convois traversent des villes qui, elles, restent résolument animées et normales.

Les vastes plans de contingence mis en œuvre dans le pays ne bouleversent pas la vie quotidienne d’un peuple qui résiste depuis plus de vingt ans à toutes sortes de tentatives de déstabilisation, de machinations et de complots. Dans ce pays que la CEPAL (ONU) désigne comme leader de la croissance du continent pour la quatrième année consécutive (avec 6% en 2025, alors que le Brésil et la Colombie stagnent à 2,5%), on continue à travailler, à étudier, sans renoncer non plus à la convivialité. Les lieux de loisirs, concerts, plages, parcs et places publiques restent bondés. L’esprit joyeux du peuple vénézuélien demeure intact. Si l’objectif derrière les exécutions extrajudiciaires en mer, les tactiques de siège et les opérations psychologiques, était de semer la panique et de provoquer des scènes d’émeutes dans les supermarchés, le plan a totalement échoué.

La nation est en alerte maximale, mais sans alarmisme. Certains estiment que c’est par manque de conscience de la gravité de la menace représentée par la première puissance militaire mondiale, celle-là même qui a détruit tant de nations, souvent sans aucun motif valable. D’autres, au contraire, voient dans cette attitude un signe de profonde lucidité : le peuple a compris que l’ennemi cherche d’abord à envahir les esprits avant de conquérir les territoires.

Le 19 octobre, alors que des navires de guerre et des sous-marins visaient le Venezuela, le chanteur colombo-américain Nicky Jam se produisait devant 30 000 fans joyeux et détendus au Stade Monumental Simón Bolívar de Caracas, au sud de la capitale et à proximité de Fuerte Tiuna, le principal complexe militaire de la ville abritant l’essentiel de la puissance défensive de la capitale.

Le curieux « effet Nobel »

L’extrême droite vénézuélienne qui réclame depuis longtemps une invasion états-unienne, s’est montrée euphorique face à la perspective qui semblait désormais plus proche que jamais. Mais après l’exaltation initiale, une vague d’impatience puis de déception a rapidement surgi, les événements ne se déroulant pas comme escompté.

Au cœur de cette attente fébrile : l’attribution du prix Nobel de la paix à la dirigeante d’extrême droite María Corina Machado. Cette désignation a eu un effet pour le moins singulier. Sur le plan intérieur, la réaction a été tiède, voire inexistante, même à droite, révélant que l’oligarque Machado ne dispose pas du charisme que lui prêtent ses défenseurs et que son appui provient surtout des secteurs radicaux, minoritaires, qui défendent depuis 23 ans un coup d’État ou une invasion états-unienne.

Sur la scène internationale, ses déclarations ont confirmé son rôle de courroie des plans états-uniens de récupérer le pétrole, tout comme son soutien au génocide du peuple palestinien et à Netanyahou. Elle a précipitamment présenté le prix comme l’évènement décisif pour justifier le renversement d’un président élu, sans évoquer l’unité ou la réconciliation, mais au contraire la vengeance, la punition et la persécution des adversaires politiques.

Machado et ses partisans ont même tenté de transformer la canonisation de José Gregorio Hernández et de Carmen Rendiles (premiers saints catholiques vénézuéliens) en moment politique conflictuel. Or, cette cérémonie a en réalité rassemblé de larges secteurs de la société. Leur tentative de protestation a échoué au Venezuela et a pris une tournure déplorable en Italie, où un groupe exalté de partisans de Machado a pris à partie verbalement l’ex-ambassadeur Roy Chaderton à l’intérieur d’une église ; un geste difficilement compatible avec un mouvement « pacifique ».

Un peuple entraîné à la survie

Les propagandistes de l’extrême droite, rejoints par certains analystes soi-disant neutres, misaient sur le fait que le déploiement de navires de guerre, le bombardement de petites embarcations et surtout la menace d’invasion provoqueraient une panique collective et feraient voler en éclats l’unité du gouvernement révolutionnaire et des institutions publiques.

Rien de tout cela n’est arrivé. Le pays conserve son calme, l’État fonctionne normalement. L’expérience accumulée depuis le début du processus bolivarien, et tout particulièrement durant la dernière décennie, a renforcé le peuple comme les autorités. Cette réponse ferme mais sereine de la population résulte d’années d’intense résistance – depuis le décret de Barack Obama en 2015 qualifiant le Venezuela de « menace inhabituelle et extraordinaire » pour la sécurité nationale états-unienne, jusqu’aux près de mille mesures coercitives unilatérales, au blocus économique occidental et à la confiscation de la filiale pétrolière CITGO par les États-Unis et d’autres actifs, causes principales de l’exode massif.

Les Vénézuéliens restés au pays pendant toutes ces années ont dû apprendre à produire quantité de biens jadis importés, perfectionner leurs capacités de survie et développer de nouvelles formes d’organisation sociale, au premier rang desquelles le pouvoir communal. Bref, ils connaissent l’économie de guerre. Les opérations psychologiques n’ont donc guère d’effet sur un peuple qui a déjà tant enduré.

Il en va de même pour les autorités, qui ont affronté toutes les formes d’agression : coups d’État, tentatives d’invasion, révolutions de couleur, complots d’assassinat, sabotages de l’industrie pétrolière, blackouts nationaux, attaques monétaires et migration forcée. Chaque épisode a été l’occasion d’engranger de nouveaux apprentissages en matière de résistance et de riposte efficace. Les corps de sécurité se sont perfectionnés dans la détection et la neutralisation de ces attaques, tandis que la diplomatie a accru sa capacité à les dénoncer sur la scène internationale.

Comme souvent, les conspirateurs sous-estiment à la fois le peuple vénézuélien et son gouvernement. Les élites états-uniennes, leurs alliés et affidés continuent de raisonner dans une logique suprémaciste qui n’a cessé de les mener à l’échec. Voilà près de 25 ans que les calculs états-uniens se révèlent systématiquement erronés. La résistance, et la vie elle-même, continuent.

Caracas, un jour d’octobre. Photo T. Deronne

Traduction Bernard Tornare

Source en anglais

Venezuela : en alerte maximale… mais sans alarmisme

L’auteur : Clodovaldo Hernández est un journaliste vénézuélien diplômé en communication sociale de l’Université centrale du Venezuela et a suivi une spécialisation en information internationale. Il a exercé diverses fonctions dans le journalisme depuis 1981, couvrant la politique, les affaires internationales et l’information générale, et a publié dans des journaux, des revues, des radios et des portails d’information. Il a également travaillé dans la création et l’édition de manuels scolaires en sciences sociales de 2008 à 2018.​

URL de cet article : https://venezuelainfos.wordpress.com/2025/10/31/venezuela-alerte-maximale-mais-sans-alarmisme/

29 de octubre de 2025

¡Podrá creerse que todo esto pasó y que nunca se hizo justicia porque EE UU, la bestia del crimen, lo impidió!

 

José Sant Roz

Durante aquel terrible año 2002 sufrimos una de las peores etapas de injusticias y crímenes que se recuerden en la historia universal. Todo era descarado contra la república, la prensa de occidente atizaba la intriga y el odio para que se produjera una guerra civil en Venezuela. Contra el Presidente Chávez, la Iglesia no vaciló en aliarse a la oposición, con toda clase de argucias y manipulaciones. El entonces monseñor Baltazar Porras estaba varias veces a la semana en todos esos diabólicos canales de televisión (Venevisión, Televen, RCTV y Globovisión), formando parte de la conjura y de la alarma generalizada contra el gobierno, promoviendo inventos, rumores y mentiras, los que a la postre habrían de conducir a la conmoción del 11 de abril. Una lista de los posibles dictadores in pectore, para suceder a Chávez fue presentada a la embajada americana por el entonces cardenal Ignacio Velasco y el propio presidente Venevisión, el señor Gustavo Cisneros.  Debía ser escogido, según los cartabones católicos, capitalistas, apostólicos y romanos. Se descartaron viudos, divorciados, amancebados o embarraganados, y recayó la elección en el señor empresario don Pedro Carmona Estanga, personaje impecable, sereno, casado y de costumbres de su casa, de dicción meliflua fácil, manejable y dúctil a los intereses norteamericanos.

Derrocado Chávez, pensaron los gringos que en pocos días el país entraría en calma chicha, por lo que se hizo una reunión previa al 11 de abril de 2002, con Charles Shapiro en la embajada americana, a la que asistieron don Baltazar Porras y su eterno carnal del alma, don William Dávila Barrios (ex gobernador de Mérida).

El día 12, previa determinación de la embajada estadounidense, se hizo un listado de las personalidades que podían hacer presencia a la asamblea clave en Miraflores, para elegir al nuevo presidente. Para evitar equivocaciones, se le entregó esta tarea a la Conferencia Episcopal Venezolana, y fue por ello por lo que allí vimos a lo más granado de la burguesía junto a ciertos traidores de la izquierda, los asomados fueron muy pocos (entre ellos Eduardo Fernández, quien pudo entrar a última hora por uno de los túneles de la explanada norte). Los vimos a todos ellos departir a la entrada de palacio, cual guerreros insignes que habían puesto un grano de arena en la epopéyica batalla del 11, para echar del poder al mulato de Sabaneta, el que había osado ocuparse de los pobres, darles créditos y tierra, darles educación y protección social. Había en palacio aquella mañana del 12 de abril tantos curas como generales, celebrando haber retomado el poder. El jesuita Mikel de Viana, gritó eufórico aquella mañana: «Toda la vida he sido adeco, ¿y qué? Al fin hemos salido de esa rata». Así hablan estos seres espirituales, seguidores de Cristo, así piensan y así actúan.

Ese mismo día 12, se desató una horrible represión por parte de la Policía Metropolitana en el centro de Caracas y principalmente en los sectores más pobres, precisamente en el momento en que la cúpula fascista presidida por Porras y Velasco, celebraban en palacio al lado de sus pares criminales de Gustavo Cisneros y los altos oficiales comprometidos en la trama. No se acordaron de los derechos humanos que tanto le reclamaban al gobierno de Chávez, no pidieron tolerancia, no solicitaron a los medios de comunicación que informaran debidamente sobre lo que estaba pasando con las actitudes represivas del tirano Carmona Estanga. Todos aquellos asistentes a Miraflores callaron criminalmente como bestias a sueldo de Gustavo Cisneros.

El Opus Dei había puesto, movido todas sus piezas en la conformación del nuevo gobierno, y por ello encontramos varios ministros ultra-cureros en el gabinete del dictador Carmona. Por la noche, estos demonios ensotanados celebraron con champaña fino, especialmente traído de España por Gustavo Cisneros (y como un regalo reservado desde hacía varios días, enviado a Caracas por Felipe González), para la «distinguida» ocasión. Había en el sarao muchos contratistas ladrones de la IV república, pudo verse como un gran personaje departiendo en todos los corrillos al traficante de armas Isaac Pérez Recao. Aquel champaña tuvo un salitroso sabor a sangre, como les gusta a los oligarcas, por los asesinatos ocurridos el día anterior, que ya estos altos prelados sabían que se iban a dar, porque de otro modo era imposible poner en marcha la gran maquinaria del Golpe. Toda la cúpula de la Conferencia Episcopal Venezolana sabía que la oposición había contratado a mercenarios que debían ser colocados en puntos estratégicos para provocar la parte C del Plan de la Gran Marcha. Los muertos que ya el almirante Héctor Ramírez Pérez (ministro de la Defensa de don Pedro Carmona) había anunciado un día antes, los conocía perfectamente esta cúpula. En todo esto estaba de manera tan vilmente comprometida la Iglesia, en ese complot que posteriormente, cuando sale a la luz el variado cúmulo de videos, confesiones, hechos y documentos sobre la emboscada asesina en El Silencio, calla y ordena no hablar sobre el tema, y además solicita reforzar las acciones para que recrudezcan los ataques. Fue por ello que se concentraron todos los esfuerzos porque la ultraderecha púrpura de Aznar y del Rey Juan Carlos de Borbón, para que se le entregara el premio Rey de España de periodismo a Venevisión, por la trácala y los montajes que se hicieron sobre los «pistoleros de Puente Llaguno». Ya el «Príncipe de Asturias», dentro de ese plan desestabilizador internacional, le había sido otorgado a la periodista analfabeta y golpista Patricia Poleo. Dios mío tanta mierda y nunca pudo aplicarse la justicia porque así lo determinaron los malditos gringos…


Cedió a la presión, la borrrachita Kamla Persad-Bissessar (de Trinidad y Tobago), para hacer ejercicios militares conjuntos con EE UU …

 

TeleSUR

El secretario general del Partido Socialista Unido de Venezuela (PSUV), Diosdado Cabello, denunció este lunes 27 de octubre que Estados Unidos está utilizando ejercicios militares conjuntos con Trinidad y Tobago, realizados frente a las costas venezolanas, como una clara «provocación» en medio de la escalada de agresiones contra Caracas.

Durante una rueda de prensa, el líder bolivariano cuestionó la decisión de Washington y Puerto España de situar las maniobras «justo en frente de la costa venezolana» a pesar de la disponibilidad de otras áreas en el territorio trinitario.

Cabello señaló que estos ejercicios son el más reciente peldaño de una campaña de «máxima presión» y mentiras diseñada para fabricar un pretexto y agredir militarmente a Venezuela. El dirigente afirmó que la Casa Blanca ha perdido credibilidad, citando el colapso de narrativas como el del extindo «Tren de Aragua» y la «Cártel de los Soles», y comparó esta estrategia con la difusión de mentiras sobre supuestas armas de destrucción masiva en Irak para justificar una agresión que costó miles de vidas.

#ENVIVO | Ministro de Interior, Justicia y Paz de Venezuela, @dcabellor, ofrece declaraciones https://t.co/lIeK9dG88l pic.twitter.com/BteppVo3w1

— teleSUR TV (@teleSURtv) October 27, 2025

El líder del PSUV ratificó que el objetivo de Estados Unidos sigue siendo la imposición de un cambio de Gobierno, una meta que advirtió que «no les va a ser fácil». Subrayó que la intensificación de la presión externa solo sirve para exponer a los «traidores» internos que apuestan por una agresión militar como solución.

En esta misma línea, hizo referencia al opositor Leopoldo López, prófugo de la justicia, por haber solicitado invasiones contra la nación. Cabello enfatizó que esta acción está contemplada en la Constitución venezolana como una falta muy grave. Además, señaló que la petición de retirarle la nacionalidad es una medida que corresponde con las disposiciones constitucionales vigentes.

Por otra parte, Cabello confirmó las recientes capturas de mercenarios y la incautación de «manuales de función de la Agencia Central de Inteligencia (CIA)», reafirmando que Venezuela está en alerta y que la seguridad es un «eje transversal» para la defensa de la soberanía nacional.

El también vicepresidente Sectorial de Política, Seguridad, Ciudadana y Paz de Venezuela aprovechó para distinguir las acciones de Venezuela en la lucha contra el narcotráfico, señalando que el país intercepta droga sin cometer ejecuciones extrajudiciales, práctica que atribuyó a Estados Unidos.

El dirigente valoró la preocupación expresada por el presidente de Brasil, Luiz Inácio Lula da Silva, sobre las amenazas regionales, destacando que es crucial que la nación más grande de la región comprenda que agredir a Venezuela afecta a toda la zona. Este respaldo regional se suma al «rechazo del mundo entero» a las acciones injerencistas y agresivas que el Gobierno de Estados Unidos ha llevado a cabo en la región del Caribe.

Finalmente, Cabello aseguró que, pese a las amenazas, la revolución bolivariana trabaja para preservar la paz y tranquilidad de todos los venezolanos, y que el pueblo se sigue organizando, como lo demuestran los resultados extraordinarios de las consultas populares nacionales, cuya próxima edición fue convocada para el próximo 23 de noviembre. El pueblo participa y decide, comentó Cabello, por eso continuaremos apoyándolas, puntualizó.


27 de octubre de 2025

Por qué ganó Milei? La bajeza y el show están de moda. Vean este grandioso análisis de Máriam Martínez-Bascuñán …

 

José Sant Roz

Positivamente sorprendido he quedado con el análisis que la escritora Máriam Martínez-Bascuñán, acaba de publicar sobre el tipo de políticos que en occidente están imponiendo una moda de bajeza y vulgaridad, con millones de seguidores, revelándose en occidente cada vez más un olímpico desprecio y una burla sin medida ni control hacia la inteligencia, la sensibilidad, hacia lo humano. Lo más inmoral, falso, asqueroso y criminal utilizado por el poder dominante contra sus enemigos, tiende a volverse una norma, una ley y una fuerza infranqueables.

Mientras más vileza, ordinariez y asco desplieguen en sus consignas y proyectos, los políticos de la derecha para lograr sus miserables objetivos, más atención y más seguidores acaparan, imponiéndose en una sociedad abúlica y resignada que sólo vive del espectáculo y de los shows que cunden por las redes. Pareciera que ya no importan las ideas, los sentimientos de solidaridad humana, cultivar la sensibilidad y los valores de nobleza, sino el escarnio, la burla degradante, la mentira y el engaño más burdo, ruin y abominable.

Todo un mundo de esperpentos, como una especie de ratificación de aquella sentencia pronunciada por el poeta Schiller de que contra la estupidez ni los mismos dioses pueden…

Ya los asombros se convierten en rancios refritos de los peores culebrones, y están allí para vergüenza de la humanidad, cuando han llegado a ser elegidos presidentes canallas como la Dina Boluarte, Bolsonaro, Jeanine Áñez, Noboa, Sarkozy, Bukele, Milei,… y el jefe de todos ellos, The Orange Pig. Donald Trump

Y pensando en todo esto, venimos a hemos toparnos, digo, con un interesante trabajo de Máriam Martínez-Bascuñán, que trata precisamente sobre este punto de horror y estupidez en el que se encuentra atrapado occidente, en él ella señala: “Un Trump creado con IA pilota un caza con las palabras King Trump grabadas en el costado, sobrevuela manifestantes y les arroja excrementos. Parece claro que no estamos ante un político que oculta su crueldad, más bien la convierte en espectáculo. La obscenidad del gesto no es accidental; es el método. Trump no defiende valores tradicionales para violarlos en secreto: exhibe abiertamente su desprecio por las normas democráticas y sus seguidores lo celebran precisamente por eso. Lo que nos parece un colapso moral es, en realidad, una tecnología de poder sorprendentemente eficaz: la obscenidad performativa como estrategia política. No hay máscara ni doble moral. Sus seguidores no se engañan, más bien lo siguen porque desprecia abiertamente la moralidad. Y funciona. ¿Por qué? Tal vez genera un tipo particular de vínculo político, el goce compartido en la transgresión, porque cuando Trump viola las normas insultando, humillando o desafiando leyes, no está cometiendo errores políticos, sino ofreciendo a sus seguidores una experiencia de liberación, la fantasía de que ellos también podrían desafiar las restricciones que perciben como opresivas”.

Realmente Máriam Martínez-Bascuñán da en el clavo, que párrafo más contundente y clarificador de lo que venimos diciendo arriba. Agrega esta escritora: “Para mucha gente, normas democráticas como la corrección política, los derechos o la institucionalidad ya no representan una protección sino una limitación que Trump promete destruir. Cada acto de crueldad explícita confirma que él, efectivamente, lo hará. La obscenidad no lo debilita, lo hace más auténtico, y lo peor es que su sadismo nos arrastra a un terreno elegido por él: cada denuncia moral, cada protesta, alimenta el espectáculo. La atención mediática que genera, incluso siendo crítica, amplifica su mensaje: “Desafío todo lo que ustedes defienden, y puedo salirme con la mía”. El escándalo no es un efecto secundario, es el combustible. Cuando siete millones de personas salen a las calles defendiendo el Estado de derecho y el presidente defeca virtualmente sobre ellas, no estamos ante un error de comunicación. Trump declara que el lenguaje político de la dignidad ciudadana, la deliberación y el respeto mutuo ya no tiene poder vinculante para él. Sus seguidores entienden perfectamente el mensaje: “Esas reglas son para perdedores”.”

No tiene desperdicio esta alerta de algo que también practican, insistimos, la María Corina Machado, el Milei y el Bukele. A la María Corina su actitud le ha valido el Premio Nobel de la Paz por parte de Occidente. Es decir, un grado de degeneración de la política a niveles nunca vistos. Añade Máriam Martínez-Bascuñán: “EL PROBLEMA NO ES SOLO QUE TRUMP SEA INMORAL, SINO QUE HA CONSTRUIDO UN ESPACIO POLÍTICO DONDE LA INMORALIDAD NO ES UN OBSTÁCULO SINO UN ACTIVO. No podemos criticar su hipocresía, como hacemos con los políticos tradicionales, porque él no es hipócrita, así que la tentación obvia es responder con las mismas armas: abandonar las normas y adoptar tácticas sin escrúpulos, combatir el fuego con fuego. ES LA TRAMPA QUE NOS TIENDE EL TRUMPISMO. SI LA OPOSICIÓN VIOLA LAS NORMAS PARA “SALVAR LA DEMOCRACIA”, TRUMP SABRÁ QUE HA GANADO A UN NIVEL MÁS PROFUNDO, CONSIGUIENDO QUE TODOS ACEPTEMOS QUE LAS REGLAS YA NO IMPORTAN. Aquellos siete millones que llenaron las calles rechazando reyes y defendiendo el Estado de derecho representan algo muy valioso: la negativa a aceptar que la crueldad sea inevitable. Pero el gesto corre un doble riesgo: ser políticamente ineficaz si solo es simbólico, o caer en la tentación de mimetizarse con los modos del adversario y convertirnos en aquello contra lo que luchamos. Por eso es urgente saber si alguna de las ambiciosas figuras que pueblan la política se está haciendo una pregunta inevitable: ¿existe una tercera vía entre la pureza impotente y el pragmatismo corrosivo? Porque, entre todos, hemos de encontrarla”.

Qué trabajo más contundente y esclarecedor de lo que hoy disloca al mundo occidental y para el cual no se ve solución alguna. Realmente espantoso!!!!…


26 de octubre de 2025

Trump al exigir le besen el cool, impone la obscenidad performativa como estrategia política, y miren lo que se nos avecina… Imperdible!!!!

José Sant Roz

Los saudíes lo recibieron como a un dios, y le regalaron un super avión, además de joyas y oro en grandes cantidades. El Rey Salman bin Abdulaziz Al Saud y el Príncipe Heredero y Primer Ministro Mohamed bin Salmán se postraron, acercaron sus largas y abultadas narices a su trasero y aspiraron hondo, degustando los excelsos elixires de su fétida digestión. Y a donde se dirija aquel promontorio rosado y defecante de chorizos y hamburguesas, allí corren bandadas de mandatarios de Occidente a inhalarlos. Toda la Unión Europea en pleno lo ha hecho: Ursula Gertrud von der Leyen, la primera.  Ni qué hablar de ese infinito comecome del Javier Milei, del Bukele y el Noboa, de la hoy extinta Dina Boluarte, del mequetrefe panameño Mulino… Y así está hoy gran parte del mundo, postrada ante las ancas de ese bulto de miasmas y miserias humanas…

A tanta abominación y depravación no llegaron los emperadores romanos, Calígula o Nerón. Lo que nos falta es que grandes empresas como McDonald, comiencen a recoger las defecaciones de Trump para enlatarlas y venderlas por el mundo como deposiciones milagrosas, para salvar de cualesquiera males atribulen al planeta. Ya esto ocurrió en el pasado. El padre Santiago López Palacios recoge algunas de estas aberraciones, bajo el título de DEFECACIONES PATRIARCALES. Si, así mismo, de manera no simbólica, suele trabajar la Iglesia también, ¿de qué modo se está trastocando la realidad, para hacernos tragar cuantas bazofias hoy confeccionan las diabólicas mentes superiores para mantenernos sometidos a sus idiotizantes procederes? Resulta que cuando el gran patriarca de Constantinia hacía sus defecaciones, los sacerdotes las recogían cuidadosamente en toallas de seda y las secaban al sol. Después mezclaban con almizcle, ámbar y benjuí, pulverizaban la pasta, completamente seca, la metían en cajitas de oro, y la mandaban a todas las iglesias y a todos los reyes cristianos. Y este polvo de las defecaciones patriarcales servía de incienso supremo para santificar a los cristianos en todas las ocasiones solemnes, especialmente para bendecir a los recién casados, para fumigar a los recién nacidos y bendecir a los nuevos sacerdotes. Pero como no podían servir para tantos usos en todos los países cristianos, los sacerdotes tenían que falsificar aquel polvo, porque las defecaciones del gran patriarca apenas bastaban por sí solas para diez provincias, mezclándolo con otras materias fecales menos santas, como por ejemplo, la de otros patriarcas menores y las de los vicarios. Hay que tener en cuenta que era muy difícil distinguirlas. Por consiguiente aquel polvo era muy estimado a causa de sus virtudes, pues aquellos sucios griegos, además de las fumigaciones, lo empleaban en colirios para las enfermedades de los ojos, en estomáticos para los intestinos. Y éste era el tratamiento al que se sometían los reyes y las reinas más grandes. Todo esto contribuía a que su precio fuese tan elevado, que el peso de un dracma se vendiera en mil dinares de oro.

Hoy, en este sentido, aparece un interesante trabajo de Máriam Martínez-Bascuñán, tratando precisamente este punto en el que señala: “Un Trump creado con IA pilota un caza con las palabras King Trump grabadas en el costado, sobrevuela manifestantes y les arroja excrementos. Parece claro que no estamos ante un político que oculta su crueldad, más bien la convierte en espectáculo. La obscenidad del gesto no es accidental; es el método. Trump no defiende valores tradicionales para violarlos en secreto: exhibe abiertamente su desprecio por las normas democráticas y sus seguidores lo celebran precisamente por eso. Lo que nos parece un colapso moral es, en realidad, una tecnología de poder sorprendentemente eficaz: la obscenidad performativa como estrategia política. No hay máscara ni doble moral. Sus seguidores no se engañan, más bien lo siguen porque desprecia abiertamente la moralidad. Y funciona. ¿Por qué? Tal vez genera un tipo particular de vínculo político, el goce compartido en la transgresión, porque cuando Trump viola las normas insultando, humillando o desafiando leyes, no está cometiendo errores políticos, sino ofreciendo a sus seguidores una experiencia de liberación, la fantasía de que ellos también podrían desafiar las restricciones que perciben como opresivas”.

Realmente Máriam Martínez-Bascuñán da en el clavo, que párrafo más contundente y clarificador de lo que venimos diciendo arriba. Agrega esta escritora: “Para mucha gente, normas democráticas como la corrección política, los derechos o la institucionalidad ya no representan una protección sino una limitación que Trump promete destruir. Cada acto de crueldad explícita confirma que él, efectivamente, lo hará. La obscenidad no lo debilita, lo hace más auténtico, y lo peor es que su sadismo nos arrastra a un terreno elegido por él: cada denuncia moral, cada protesta, alimenta el espectáculo. La atención mediática que genera, incluso siendo crítica, amplifica su mensaje: “Desafío todo lo que ustedes defienden, y puedo salirme con la mía”. El escándalo no es un efecto secundario, es el combustible. Cuando siete millones de personas salen a las calles defendiendo el Estado de derecho y el presidente defeca virtualmente sobre ellas, no estamos ante un error de comunicación. Trump declara que el lenguaje político de la dignidad ciudadana, la deliberación y el respeto mutuo ya no tiene poder vinculante para él. Sus seguidores entienden perfectamente el mensaje: “Esas reglas son para perdedores”.”

No tiene desperdicio esta alerta de algo que también practican la María Corina Machado, el Milei y el Bukele. A la María Corina su actitud le ha valido el Premio Nobel de la Paz por parte de Occidente. Es decir, un grado de degeneración de la política a niveles nunca vistos. Añade Máriam Martínez-Bascuñán: “El problema no es solo que Trump sea inmoral, sino que ha construido un espacio político donde la inmoralidad no es un obstáculo sino un activo. No podemos criticar su hipocresía, como hacemos con los políticos tradicionales, porque él no es hipócrita, así que la tentación obvia es responder con las mismas armas: abandonar las normas y adoptar tácticas sin escrúpulos, combatir el fuego con fuego. Es la trampa que nos tiende el trumpismo. Si la oposición viola las normas para “salvar la democracia”, Trump sabrá que ha ganado a un nivel más profundo, consiguiendo que todos aceptemos que las reglas ya no importan. Aquellos siete millones que llenaron las calles rechazando reyes y defendiendo el Estado de derecho representan algo muy valioso: la negativa a aceptar que la crueldad sea inevitable. Pero el gesto corre un doble riesgo: ser políticamente ineficaz si solo es simbólico, o caer en la tentación de mimetizarse con los modos del adversario y convertirnos en aquello contra lo que luchamos. Por eso es urgente saber si alguna de las ambiciosas figuras que pueblan la política se está haciendo una pregunta inevitable: ¿existe una tercera vía entre la pureza impotente y el pragmatismo corrosivo? Porque, entre todos, hemos de encontrarla”.

Qué trabajo más contundente y esclarecedor de lo que hoy disloca al mundo occidental…


 

24 de octubre de 2025

Concédeme Dios la gloria!, de matar gringos invasores a mi patria. Todo punto gringo en el Caribe será un objetivo militar…

 

José Sant Roz

Ha de saberse que, si se produce un ataque al territorio venezolano con misiles gringos, arderá todo el Caribe y el polvorín se extenderá a lo ancho y largo de América Latina. Hasta ahora llevan 37 viles asesinatos de pescadores, atacando lanchitas, y el cobarde Trump ahora proclama: «Lo que viene será en tierra».

Ha de saberse, que nuestros ataques en una guerra serán frontales: serán borradas del mapa, multitudes de empresas estadounidenses en el Caribe, tales como Walmart y General Motors, las cuales funcionan en Puerto Rico y República Dominicana. Empresas como Timberland, algunas aeroespaciales como Eaton Corporation, compañías de tecnología y empresas de turismo controladas por EE UU en toda esta región… Se verán severamente afectadas las empresas petroleras estadounidenses como ExxonMobil y Chevron las cuales operan en Guyana, y tienen asentadas sus plataformas en el territorio nuestro del Esequibo. También sufrirá grandes pérdidas la Shell que funciona en Trinidad y Tobago, y las instalaciones que ésta tiene en Curazao, por cuanto que todo centro gringo se convertirá en parte del conflicto regional. S decir, cualquier punto gringo en el Caribe, en medio de una guerra será considerado por Venezuela, sin ambages, como objetivo militar enemigo.

Si atacan a nuestros puertos y aeropuertos, a nuestras centrales eléctricas, a nuestras refinerías o cuarteles, ni sueñen los gringos que nos quedaremos de brazos cruzados. Hasta arderán las propias bases gringas en Colombia. Y no olvidemos que el Caribe importa unos 20 mil millones de dólares anuales en productos manufacturados estadounidenses…

Hoy vemos, pues, que está desatada como nunca el psico-terror contra Venezuela desde EE UU. Se ha venido intensificando esta campaña, día tras día, esperando The Orange Pig (Trump) que nos rindamos, que pidamos cacao, que aceptemos ese CAMBIO DE RÉGIMEN que él tanto aspira.

Piden la invasión gringa María Corina Machado desde su ultra-conocida cueva en Caracas e igualmente lo hace Leopoldo López desde Madrid. Pide que nos invadan los gringos, el narcotraficante Álvaro Uribe Vélez y sus paramilitares, y también la ultra-derecha española dirigida por VOX y el PP. Abogan por una guerra contra Venezuela en Latinoamérica, también, Noboa, Milei y Boric.

¿Pensará doña María Corina que saldrá lisita si se produce una confrontación con sus amos? ¿Creerán los escuálidos que el poder los gringos se los va a pasar en bandeja de plata, sin consecuencias terribles para ellos mismo? El propio Brasil tendrá que definir su posición en esta gran conflagración.

Pero no lo tienen fácil. No será un paseo. Si entran no podrán salir. No aspiren que en pocas horas los mariners estarán tomando café en Sabana Grande, muertos de la risa. Y volveremos a repetir una y mil veces con Chávez: “VÁYANSE AL CARAJO, YANQUIS DE MIERDA, QUE AQUÍ HAY UN PUEBLO DIGNO!”


23 de octubre de 2025

El país de los asombros…, lo que vemos y nos hacemos los locos o lo que creemos conocer…

 

José Sant Roz

Viajamos a Caracas en medio de una tensa situación geopolítica: con el reciente Nobel de la Paja, otorgado a doña María Corina Machado, y como para rematar o machacar, la inminencia de una intervención gringa contra Venezuela. Con varios destructores, con 1.200 misiles apuntándonos, un submarino nuclear, helicópteros artillados, harta movilización en ese gran charco del Caribe por el que los gringos entran y salen como Pedro por su casa, y con unos 40.000 mariners listos para el desembarco en nuestras costas. Todo esto, una tensión que corre con pavor por todos los medios del mundo, convertidos, pues, nosotros, en este momento, en el mayor narco-estado del planeta, una dictadura que le manda adrede millones de locos a Estados Unidos, pero lo peor aún, y lo principal, encontrándose en las entrañas de esta tierra las mayores reservas de petróleo del mundo, algo muy grave, gravísimo, espantosamente peligroso. Y gobernando en la casa Blanca, un tipo pavoso, que imparte a diestra y siniestra sanciones económicas al universo, y que viene y coloca de Jefe del Departamento de Estado a un tarado agusanado, de nombre Marco Rubio. Con todo ese panorama al frente, salimos nosotros hacia la capital.

Pues, íbamos considerando, que a lo mejor, de un momento a otro se producía un verguero, que de pronto nos atacaban por Guyana o por Colombia, por la isla de Trinidad o por el estado Falcón, por Puerto Cabello o La Guaira. La última advertencia de Trump había sido que, además de lanzarle misiles a lanchitas, que ahora los ataques serían en el propio territorio. También acababa de ordenar a la CIA el emprender acciones contra Venezuela, tal cual como lo sabe hacer esta agencia, comprando militares, con atentados terroristas o golpes de estado, para así lograr el fulano cambio de régimen. Leí a unos locos que nos auguraban la pronta incorporación como estado número 51 de la Unión. A los gringos les sobra experiencia en estos menesteres. Pero bueno, está uno en el aeropuerto e imagina que de pronto aparecerán en el cielo poderosos aviones o helicópteros de combate escupiendo metralla para darnos la libertad, para liberarnos del martirio comunista… Pero luego miro alrededor y todo el mundo está tranquilo muerto de la risa mirando sus celulares. Pues, que sea lo que Dios quiera y con nuestro santo José Gregorio Hernández (quien será canonizado el próximo domingo 19) adelante, para lo que salga y para lo que venga…

Ya estamos curados de espantos. Ya nada nos asusta de tanto que hemos sufrido con los ataques gringos desde que el chavismo llegó al poder en 1998.

Transcurrido un cuarto de siglo, de este siglo XXI, en Venezuela conviven varios países con sus respectivas historias, en un solo territorio. Nos encontramos pueblos viviendo en la era de Cristóbal Colón, otros en los enjambres confusos de la conquista y del coloniaje español, algunos en medio de la era de la Guerra Federal, algunos que aún no han salido del gomecismo en medio de la oscurana de la historia y muchos desperdigados en el marasmo dejado por el Puntofijismo adeco-copeyano. Otra Venezuela es la que vemos en Caracas, aislada del monte y de las culebras (que ya están también casi extinguidas). Todos esos pueblos, eso sí, armados cada uno de sus habitantes con un celular en la mano, pueblos herederos de los indios caribes, yanomamis, goajiros…, esclavos, manumitidos, blancos de orilla, saltos atrás o patriotas bolivarianos de la última generación. Es un país en el que casi ningún político de los que viven en la capital conoce realmente. Podemos decir que Chávez sí lo conocía profundamente, pero en medio de los inmensos conflictos que tuvo que enfrentar no pudo nivelarlos en un todo con una poderosa conciencia nacional e inmerso en el proyecto socialista que perseguía. Hizo un esfuerzo formidable, pero ésta no es tarea para lograrlo sólo en un cuarto de siglo, por lo que debo decir que existe una Venezuela profundamente desconocida por la gran mayoría de sus habitantes.

A esos pueblos enclavados en el pasado, los acabo de visitar en ese rápido recorrido de una semana que acabo de hacer a Caracas. Compramos pasajes para salir por Conviasa el domingo 12 de octubre (2025) y regresar el domingo 19. Debido a que el aeropuerto de El Vigía ha sido cerrado por remodelación, hubimos, mi esposa y yo, de tomar el vuelo en el pueblo de La Fría (capital del municipio García de Hevia) en Táchira. En relación con el aeropuerto de El Vigía debemos decir que se encuentra en un estado muy deficiente para atender los pasajeros que allí acuden a tomar sus vuelos. El 7 de julio de 2025, cuando acudí para trasladarme a Caracas, ocurrieron dos hechos preocupantes, el vuelo pautado para las 3, fue pospuesto para las 11 de la noche, y me dijeron que suele darse este hecho con cierta frecuencia. Segundo: como hube de permanecer en espera casi diez horas, puedo decir que los espacios son tan reducidos que no hay asientos suficientes para los pasajeros, y en medio del inmenso calor de la zona hay que coger hacia lugares adyacentes y buscar la sombra de los árboles. Yo pensaba que entre las remodelaciones se buscaría la manera de ampliar los espacios para la atención al público, pero dijo un taxista (que todo lo saben) que únicamente se dedicarían a reparar la pista, que por cierto –ya es público y comunicacional- se buscaron un asfalto que no es el adecuado por lo que ha sido necesario recurrir a otras empresas para proceder a una rectificación. Esa es parte de la vieja Venezuela de la eterna improvisación. Son cosas que a uno le duelen. Siempre en donde quiera a uno le está doliendo nuestra patria, y sobre todo, nos duele Bolívar.

Por el estado en que se encuentran las vías y los daños que ocasiona la temporada de lluvias, el traslado de Mérida a La Fría, de unos 160 kilómetros, se lleva aproximadamente cuatro horas. Para asegurarse llegar sin contratiempos, hay que salir muy temprano, teniendo en cuenta que el trayecto hasta El Vigía es siempre muy peligroso por los derrumbes que allí ocurren, en tramos cercanos a los túneles, de hecho, el día 21 de octubre, el paso por la autopista fue cerrado. Al entrar al estado Táchira, es como pisar territorio neogranadino, se comienzan a ver los productos del vecino país, la escasez de la gasolina y el hecho insólito de que casi todo se paga en pesos.

El aeropuerto de La Fría es un cuchitril, diminuto y muy abandonado. Todos los urinarios están dañados o aparentemente dañados, cubiertos con bolsas negras, y para hacer las necesidades sólo hay una poceta disponible. ¿Podrá llamarse esto “producto de las sanciones”? A mí me parece que se hace con la intención de reducir el número de pocetas a limpiar. Esto se ve en muchos sanitarios públicos. Agua no hay ni para lavarse las manos. Es tan pequeño este aeropuerto, que no se le permite el acceso a los taxistas, quienes deben permanecer afuera, a la intemperie, bajo el sol inclemente o bajo las torrenciales lluvias. ¡San José Gregorio Hernández, bendito!

Debemos aclarar que esto de encontrarse uno con los baños públicos clausurados, ha sido una constante en Venezuela, toda una verdadera calamidad. Durante el primer mandato de Carlos Andrés Pérez se hizo famosa, una norma o decreto, de obligatorio cumplimiento, en el que se exigía tener sanitarios en bares, restaurantes, cafetines y entes públicos. Si usted va a la zona de los vuelos nacionales en Maiquetía, antes de ingresar a las salas de espera, se encontrará con que sólo hay un baño habilitado, y todos los demás (media docena) cerrados.

CARACAS LA BELLA, LA MODERNA, FASTUOSA METRÓPOLIS DE BOLÍVAR, ANDRÉS BELLO, PÉREZ BONALDE, RÓMULO GALLEGOS, TITO SALAS,…

Cinco dólares por cabeza cobran los buses para trasladarnos desde Maiquetía a Caracas. Llegamos a Maiquetía, a las 4:30, y esperábamos subir a la capital usando el sistema Sitssa, (Sistema Integral de Transporte Superficial Sociedad Anónima), transporte público, el más económico, pero allí nos enteramos que por ser domingo, no estaba funcionando. ¡Bingo! De nuevo el pasado, La Cosiata, la Guerra Federal, la IV República…, ¡San José Gregorio Hernández bendito, ayúdanos y protégenos!

¿Por qué fuimos a Caracas? Pues, el director de la TeleTuya, el señor Esteban Trapiello, tuvo la gran gentileza de invitar a mi esposa María Eugenia, al programa El Show del Mediodía. Mi esposa es tejedora y suele publicar sus trabajos por las redes, él los vio y quedó positivamente impresionado. Trapiello es un hombre sensible, ama a nuestro país y se mantiene en un búsqueda activa de talentos. El señor Trapiello asumió los gastos de hotel (nos alojamos en Plaza Mayor, La Candelaria).

El lunes 13 de octubre, mi esposa se presentó en los espacios de la TeleTuya en Chacao, cerca del centro comercial San Ignacio. Llevó una maleta con sus creaciones las cuales fueron exhibidas en el referido programa de televisión. Esta empresa es realmente una obra de ingenio y de la constancia de ese personaje llamado Esteban Trapiello, con unos 300 trabajadores y una infraestructura moderna de última generación. Solamente las unidades móviles que tiene cuestan cada una alrededor de diez millones de dólares. El propio Esteban Trapiello nos atendió y tuvimos el privilegio de poder conversar con él hora y media. Todo lo que conversamos quedará para otro trabajo. Lástima que no lo pudimos grabar, porque fue algo realmente antológico.

Pudimos recorrer Caracas de extremo a extremo a pata, viendo sus ríos de gentes encantadoras, sus comercios, sus plazas y parques. Aquí nadie pareciera estar pensando en invasión, eso a todo el mundo le parece un chiste, una jodedera del fulano catire, y va uno rememorando todo lo que conoció durante los 17 años que viví en la capital. Muchos lugares que permanecen intactos, el mismo bullir, la gracia del caraqueño, su educación, respeto y cordialidad. En ese deambular fuimos a visitar, por empeño de mi esposa, la Galería de Arte Nacional, para después ir también al Museo de Arte Contemporáneo, y el Museo de la Estampa y del Diseño Carlos Cruz Diez, entre otros.

El día jueves 9, a las diez de la mañana, nos dirigimos a la GAN, y vimos aquello un poco desolado, para nuestra sorpresa o casi asombro, el señor que nos atendió nos dijo que los días jueves y viernes, la GAN y todos los demás museos de Caracas permanecían cerrados al público. No lo podíamos creer. Otro asombro. Nos explicó que así decidieron las autoridades quedirigen estas instituciones, porque era muy variable la asistencia del público durante esos días, por lo que optaron por hacer unas encuestas electrónicas, determinando que el horario más conveniente, era: sábados y domingos abrir todo el día, y lunes martes y miércoles, desde las 4 de la tarde a las 8 de la noche.Finalmente, al decirlesque veníamos de Mérida y nos regresaríamos el domingo 12, hicieron una excepción, permitiéndonos la entrada. Fue entonces cuando pudimos reencontrarnos con las obras de Arturo Michelena, Tito Salas y Armando Reverón, entre otros. Recordamos que Hemingway solía hacer largas visitas el Museo del Prado porque le daba excelentes ideas para la escritura.

Si uno hace el recorrido de toda la Avenida México hasta capitolio, se encontrará con una especie de gran mercado persa a la intemperie. Eso ha sido desde 1958, cuando derrocaron a Pérez Jiménez. Mercado persa que también se encuentra en gran parte de la avenida principal de Sabana Grande.

Nuestra estancia en la capital, debemos decirlo, fue maravillosa, siete días echando pata y usando el metro, desde el este al oeste, desde Catia, llegándonos hasta el Parque Francisco de Miranda. Lamentablemente, el Parque Miranda lo encontramos abandonado, con lo que deberían ser bellas lagunas, convertidas en aguas estancadas cundidas de zamuros que conviven con patos, morrocoyes y lagartos.

El metro de Caracas lo encontramos eficiente, limpio, seguro, funcionándole en su gran mayoría sus escaleras mecánicas, con una atención extraordinaria. Caracas debe ser en este momento la capital más segura de toda Latinoamérica. Todo el mundo con sus celulares en la mano, la gente respetuosa, amable, siempre, como decía José Martí, con el ingenio y la alegría a flor de piel.

El día domingo, 19, cuando nos tocó regresar a Mérida, se celebraba en el Vaticano la canonización del doctor José Gregorio Hernández y la madre Carmen Rendiles. El país estaba parcialmente paralizado. Temprano, a las 9:30 de la mañana, nos dirigimos al aeropuerto en los buses que parten de Bellas Artes y en media hora llegamos al aeropuerto. Allí esperamos por el chequeo que vino a realizarse al mediodía, viniendo a embarcarnos a las 3:20, saliendo hacia La Fría a las 3:40. La verdadera odisea que habríamos de vivir sería a partir de La Fría. Los conductores de los buses de Tromerca todos estaban rezando por lo de la canonización de nuestros dos santos, y no llegaron a buscar los pasajeros (labor que asumió Tromerca dada la situación en El Vigía), así que cada pasajero debía resolver cómo llegaba a su destino, es decir pagando un ojo de la cara a los taxistas, siendo que el traslado por carretera habría de resultar mucho más caro que los pasajes por avión.

Nos unimos con una señora que iba a Mérida, quien ya había pagado su pasaje de regreso a la agencia Aerotransfer, cuyo bus no apareció por ningún lado. Finalmente, junto con la señora, conseguimos pagarle a un taxista para que nos llevara hasta el Terminal de El Vigía, a más de dos horas de camino, con la esperanza aún de encontrar el bus de Tromerca. Con ese hermoso caer de la tarde, con esos campos reverdecidos, con el sol ardiente y la esperanza siempre allá lejos, en el horizonte, íbamos viendo en el camino a pimpineros vendiendo gasolina a destajo, el litro a dólar y medio. No sé en qué vida mía pasada ya había visto tan cruenta y miserable estampa, pero eso aún existe en el estado Táchira, no se sabe por qué motivo, quién contrabandea todavía hacia Colombia nuestro combustible. De pronto se desató una feroz vaguada, oscureciéndose el cielo, sintiendo que va uno en lancha y no en carro, navegando contra las aguas, convertida la carretera en un río, con la consabida amenaza de que es una zona en la que ocurren con frecuencia grandes derrumbes y caídas de puentes. Recientemente fue reparado el puente de Onia, por allí pasamos en medio del feroz chaparrón. Como es de imaginar el taxi no podía ir a más de 30 kilómetros por hora.

Cuando llegamos a la terminal de El Vigía, convertida por las lluvias en vastos charcales, nos fuimos enterando que se encontraba casi desolado y nada de Tromerca. Vimos un bus que según nos dijeron estaba esperando llenarse para partir a Mérida. No estaba claro a qué hora saldría. No nos quedó más remedio que contratar otro taxi, algo averiado, y encomendándonos a José Gregorio, partimos hacia el confín de la nada. El traslado desde La Fría hasta Mérida tuvo un costo de 120 dólares, la verdad sea dicha, mucho para unos pelabolas como nosotros.


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