Cervantes

Hoy es el día más hermoso de nuestra vida, querido Sancho; los obstáculos más grandes, nuestras propias indecisiones; nuestro enemigo más fuerte, el miedo al poderoso y a nosotros mismos; la cosa más fácil, equivocarnos; la más destructiva, la mentira y el egoísmo; la peor derrota, el desaliento; los defectos más peligrosos, la soberbia y el rencor; las sensaciones más gratas, la buena conciencia, el esfuerzo para ser mejores sin ser perfectos, y sobretodo, la disposición para hacer el bien y combatir la injusticia dondequiera que esté.

MIGUEL DE CERVANTES
Don Quijote de la Mancha.

31 de julio de 2020

Impact de la guerre économique (calculs actualisés)

Il est impossible de quantifier chacun des effets de la guerre que l’impérialisme a déclaré au peuple vénézuélien. Les agressions que les Vénézuéliens ont subies depuis 1999 n’ont pas seulement été économiques, mais aussi psychologiques. Il est impossible de mesurer les conséquences de la haine que l’opposition antidémocratique, avec sa propagande antisocialiste, a semée, au point de brûler vif des personnes qui paressaient être des Chavistes. L’indignation que le peuple vénézuélien ressent à l’égard de ceux qui, prétendant être vénézuéliens, ont vendu le pays, est également non quantifiable.

Cela dit, mais en nous concentrant sur l’aspect économique, nous avons mis à jour les calculs que nous avions faits en mars 2019. À cette époque, les pertes causées par cette guerre s’élevaient à 125 milliards de dollars. Nous avons maintenant calculé ceux de 2019, qui s’élèvent à 68 milliards de dollars pour cette année-là.

Par conséquent, les pertes économiques totales entre 2016 et 2019 s’élèvent à 194 milliards de dollars US.

Pour les Vénézuéliens, 194 milliards de dollars US équivalent à environ 16 mois de production nationale. Avec cet argent, nous aurions pu rembourser la totalité de la dette extérieure, qui, selon la Banque Centrale du Venezuela, s’élève à 110 milliards de dollars. Ou alors nous aurions suffisamment de ressources pour importer des aliments et des médicaments pendant 45 ans.

Ces pertes se répartissent comme suit : 25 milliards de dollars correspondent à l’argent et aux biens qui nous ont été pillés, tandis que les 169 milliards restants représentent ce que nous avons cessé de produire de 2016 à 2019 en raison de l’attaque contre la société pétrolière d’État – PDVSA (64 milliards de dollars) et de l’attaque contre le bolivar (105 milliards de dollars).

Blocus/Saccage/Piraterie

John Bolton a avoué en janvier 2019 : « Nous avons gelé tous les actifs de la société d’État PDVSA sur le territoire américain [CITGO], nous avons bloqué 7 milliards de dollars d’actifs plus 11 milliards de dollars de recettes d’exportation estimées pour l’année prochaine ».

Selon le ministère des affaires étrangères, le gouvernement américain et ses alliés nous ont pillé 25 milliards de dollars US. Ils les déguisent en « sanctions », d’autres les qualifient élégamment de mesures coercitives unilatérales, mais il ne s’agit que d’un vol flagrant et d’un acte de piraterie. Environ 5,4 milliards de dollars US sont détenus dans 50 banques, y compris les 31 tonnes d’or détenues par la Banque d’Angleterre. Sont également inclus les 18 milliards de dollars d’actifs et de dividendes de la société CITGO.

Non seulement nous avons été volés, mais en janvier 2019, le Département d’État américain a annoncé qu’il donnait à Juan Guaidó le contrôle des actifs du gouvernement vénézuélien et des biens se trouvant sur des comptes bancaires aux États-Unis, c’est-à-dire que Guaidó a été chargé de l’administration de ces ressources. Nous aimerions savoir quelle part de ces dollars a été utilisée pour protéger la population vénézuélienne en période de quarantaine. Ce que nous savons avec certitude, c’est que 200 millions de dollars étaient destinés à conclure un contrat avec la société SilverCorp dont l’objectif était d’engager des mercenaires pour assassiner des Vénézuéliens.

Quant à l’or, il faut dire que la Banque d’Angleterre est obligée de le restituer à son propriétaire immédiatement sur demande. Il s’avère maintenant que, selon les Anglais, le propriétaire de l’or est Juan Guaidó qui, disent-ils, est le « président par intérim » du Venezuela. Ce vol est si grossier que pas une personne, saine d’esprit, pourrait croire un tel scandale. Le monde entier sait que ce n’est pas Guaidó qui siège à l’Assemblée générale, ni au Conseil des droits de l’homme, ni au Conseil de sécurité des Nations unies, ni aux réunions de l’OPEP. Il est évident qu’il ne siège pas non plus à Miraflores, et encore moins qu’il donne des ordres aux FANB.

Est-ce Guaidó qui fait face au Covid-19 au Venezuela et coordonne avec l’Organisation mondiale de la santé les protocoles et la réception des soins de santé ?

Attaque contre la société pétrolière d’État – PDVSA

William Brownfield, ancien ambassadeur des États-Unis au Venezuela, a avoué : « Si nous devons sanctionner PDVSA, cela aura un impact sur l’ensemble de la population, sur le citoyen ordinaire. Le contre-argument est que les gens souffrent tellement du manque de nourriture, de sécurité, de médicaments, de santé publique, qu’en ce moment, la plus grande résolution serait peut-être d’accélérer l’effondrement même s’il produit une période de souffrance de plusieurs mois ou peut-être de plusieurs années ».

L’attaque contre PDVSA n’est pas accidentelle, au contraire, il s’agit d’une action préméditée et précise. Toute affectation de l’industrie pétrolière a des répercussions non seulement sur la société elle-même, mais surtout sur l’économie nationale et avec elle sur le peuple vénézuélien.

L’industrie pétrolière génère 95 % des devises étrangères qui entrent au Venezuela par le biais des exportations. La diminution de ces exportations, qu’elle soit due à une baisse du niveau de production pétrolière ou à une baisse du prix des hydrocarbures, affecte les revenus en devises et avec eux les importations d’intrants, de pièces détachées et des machines pour la production nationale. PDVSA est le catalyseur de la production nationale.

Le prix du pétrole, pour la première fois dans l’histoire, a baissé pendant quatre années consécutives, la baisse étant de 65 %. D’autre part, le blocus commercial et financier contre PDVSA, la difficulté et l’impossibilité d’apporter des pièces de rechange et des intrants et les obstacles financiers, entre autres raisons, ont affecté la production pétrolière, qui a chuté de 64 %, passant de 2,8 millions de barils par jour en 2013 à 1 million en 2019, ce qui s’est traduit par une baisse de 78 % des exportations de pétrole (de 85 milliards de dollars par an en 2013 à 19 milliards en 2019).

Entre 2016 et 2019, nous avons cessé de produire 64 milliards de dollars US à l’échelle nationale en raison de la baisse des exportations de pétrole.

Attaque à la monnaie, le Bolivar

Richard Black, sénateur du parti républicain des États-Unis, a avoué en parlant du Venezuela : « Nous avons démonétisé sa monnaie et, par le biais du système bancaire international, nous avons rendu la monnaie vénézuélienne sans valeur, puis nous allons dire : « Regardez comme ce gouvernement est mauvais, sa monnaie ne vaut rien ». Eh bien, ce n’est pas eux, c’est nous qui avons rendu leur monnaie inutilisable ». (Sputnik 09-12-2019).

L’attaque du bolivar, la principale arme de guerre économique, non seulement induit une hyperinflation et avec elle la perte du pouvoir d’achat de la classe ouvrière, mais aussi contracte la production nationale. Dans la mesure où la classe salariée voit son pouvoir d’achat se détériorer en raison de la hausse rapide et disproportionnée des prix, elle diminue les quantités de biens demandés et ceux qui vendent réduisent leur production.

Depuis 2013, l’impérialisme a criminellement provoqué la dépréciation du bolivar de 241,657 millions de pour cent, ce qui a entraîné une augmentation des prix de 11,5 milliards de pour cent depuis cette année-là.

Entre 2016 et 2019, nous avons cessé de produire 105 milliards de dollars à l’échelle nationale à la suite de l’attaque du Bolivar.

Que chacun tire ses propres conclusions sur ce que ces pertes économiques de 194 milliards de dollars représentent en termes d’angoisse, d’indignation, de qualité de vie et de vie des Vénézuéliens. Qu’il tire également les conclusions de l’incalculable niveau de conscience et donc de résistance du peuple vénézuélien qui, toujours avec le moral au beau fixe, a affronté les ennemis du pays avec la meilleure des stratégies : l’union civique et militaire.

Par Pasqualina Curcio Curcio

AbreBrecha / traduit par Venesol

The SECRET Purpose of Trump’s Threat to Delay the Vote


By Greg Palast and Zach D. Roberts

The real purpose of the threat by our Twittiot-in-Chief to delay the election is to lay the groundwork for massive challenges of mail-in ballots.



Officially, 1,913,369 ballots were challenged and thrown away in 2016—that’s how Trump stole the last election and how he will steal 2020…they will question your mail-in ballot signature, the color of your ink and, if you put an "X" instead of filling in the little bubble, they’ll junk your ballot.

Yes, Donald, "The 2020 election will be the most INACCURATE & FRAUDULENT election in history" — because your crew is defrauding voters out of their ballots.

Whose ballots gets challenged?  According to the US Civil Rights Commission which investigated in Florida, the chance of your ballot being challenged and uncounted is 900% higher if you’re Black than if you’re white.

That’s if you get your ballot at all.  According to an MIT study, one in ten voters who request a mail in ballot don’t get one at all, or get it too late to count.  We saw the test run in Georgia in March where the GOP state government delayed the ballot send-out, meaning thousands of African-Americans never received their ballot. Even the husband of the Executive Director of the ACLU of Georgia got his ballot the day after the election.  (But yes, he was guilty of attempted VWB—Voting While Black.)

Don’t cry; don’t whine:  you can, you must, steal back your vote:  that is, protect it.  We can expose the steal and reverse it.   That’s why I wrote, How Trump Stole 2020it’s not a prediction, it’s a warning.

I'm watching CNN right now and they’re telling me that Trump doesn't have the authority to delay the election.

They are missing the f**king point.
 
Did you miss Amy Goodman, Noam Chomsky and LaTosha Brown's launch of Greg Palast's How Trump Stole 2020? Catch it this Saturday at KPFK.org at 10am PT/1pm ET.

Trump doesn't have to delay the vote.  In America, elections aren't stolen like they're stolen in some right-wing fever dream of a movie. There's no military junta marching down Pennsylvania Avenue, no back alley assassinations like in an episode of House of Cards, no Russians needed.

They're stolen in the back rooms of power by men in Brooks Brother suits, they're stolen using Excel spreadsheets, they're stolen by votes simply not being counted.

It's really hard to make a true-to-life film version of how America gets stolen. Mind you, we tried.  In The Best Democracy Money Can Buy we tried to warn America what was coming. Sadly, it seems that we were too late. 

Now three months away from the next Presidential election, Donald Trump is sending out missives to his base:  He’s whipping up his army of Proud Boys and Boogaloo bozos in Hawaiian shirts into a frenzy over fraudulent mail-in votes.  No, we won’t get a million bogus ballots from Bolivia, but the facts don’t matter.

So what’s the point?  The point is not to intimidate voters; no one’s scared of these Trumpito pinheads.  Rather, the point is to place “poll watchers” who will challenge every single mail-in vote.  This is what they did in Michigan to prevent the counting of 75,355 ballots in Detroit. That gave Trump a “victory margin” of 10,000 to take Michigan and the White House.

Michigan 2016 will be USA 2020 unless we take back our ballots.
 

Venezuela. En línea con Brics-Psuv: “Crisis sanitaria mundial, antidemocracia y fascismo. Escenarios y desafíos para pueblos y gobiernos”

Por Geraldina Colotti, Resumen Latinoamericano, 30 julio 2020.-

Bitácora de la emergencia global “Crisis sanitaria mundial, antidemocracia y fascismo. Escenarios y desafíos para pueblos y gobiernos”. Este es el título del programa realizado por la vicepresidenta de la Asamblea Nacional Constituyente, Tania Díaz, quien también es vicepresidenta de la Comisión de Propaganda y Comunicación de Agitación (PCA), del Partido Socialista Unido de Venezuela (PSUV).

Concebido por Berverly Serrano y Antonio Páez, el programa se lleva a cabo en el marco de las actividades de las Brigadas Internacionales de Comunicación Solidaria (BRICS), que actúan en la APC. Esta vez, los periodistas Fania Rodríguez (Brasil) y Romain Migus (Francia) y el analista política vasco Katu Arkonada, que vive en México pero ha estado en Bolivia desde hace mucho tiempo, han sido llamados a discutir.

Este último habló de la compleja situación que, menos de dos años después de su elección, enfrenta el presidente progresista Manuel López Obrador en México en medio de una pandemia. Un país que sufre los fuertes legados del neoliberalismo desenfrenado, el mismo modelo que se derrumbó ante el brote de coronavirus en todos los países capitalistas, donde la salud se ha privatizado.

En México, un país de 125 millones de habitantes, uno de los más grandes de América Latina, el gobierno tuvo que tener en cuenta que la mayoría de los pobres a los cuales Obrador decidió prestar atención, no podían respetar las medidas de confinamiento si no querían morir de hambre. El presidente, explicó el analista vasco, ha optado por invertir en la compra de respiradores y en la contratación de médicos, aumentando la capacidad de hospitalización.

Por lo tanto, incluso si México se encuentra entre los más afectados por el número de muertes, si consideramos la relación entre el número de habitantes, infectos y víctimas, su situación de pandemia está al nivel de Suiza y es menos catastrófica de la que se vió en Italia y Bélgica.

La situación es dramática en Brasil, donde Bolsonaro, dijo Fania Rodríguez, ha optado por no invertir recursos, que tendría disponibles, para proteger la salud de los ciudadanos. En cambio, su política obtusa y subordinada al imperialismo estadounidense favorece el gasto militar y las conspiraciones contra Venezuela, y muestra la misma dirección que su homólogo colombiano Duque, cuyos generales se presentan a Trump como valet del Comando Sur.

En cambio, Migus explicó lo que sucede en Europa, particularmente en Francia, el país donde vive. El coronavirus, dijo, ha puesto al descubierto las políticas neoliberales de los países europeos, cuyos sistemas de salud se han derrumbado, lo que demuestra la ineficiencia del sector privado, que ha ganado después la reducción de las políticas públicas en las últimas décadas. Los ataques al socialismo bolivariano, que propone un modelo de desarrollo alternativo, comienzan desde la Unión Europea que, a pesar de las tensiones internas, sigue las indicaciones de los Estados Unidos. Ataques fomentados en el Parlamento Europeo por el eurodiputado de extrema derecha Leopoldo López Gil, padre del jefe de Voluntad Popular, refugiado en la embajada española en Caracas.

En un escenario pospandémico en el que crece la preocupación por el futuro económico y social, muchas empresas cierran y ya se anuncian miles de despidos, el sistema capitalista intenta ocultar a los sectores populares que puede haber una alternativa capaz de restaurar la esperanza.

Venezuela. En Línea con Brics-Psuv: «Elecciones en Bolivia, Ecuador y Venezuela. Enemigo común: el neoliberalismo»

Por Geraldina Colotti. Resumen Latinoamericano, 30 julio 2020.

En su capítulo 28, el programa «En línea con @BricsPsuv, Bitácora de la emergencia global» ya se ha convertido en un punto de referencia internacional para la información y el análisis, recientemente reconocido también con el premio Periodismo Necesario Anibal Nazoa. Concebido por Beverly Serrano y Antonio Páez, el programa está dirigido por la diputada venezolana Tania Dia, vicepresidenta de la Asamblea Nacional Constituyente (ANC) y de la Comisión Agitación Propaganda Comunicación (APC), del Partido Socialista Unidos de Venezuela (PSUV).

Esta vez, se discutió el tema “Elecciones en Bolivia, Ecuador y Venezuela. Enemigo común: el neoliberalismo» con la participación de invitados como Tania Díaz, Doris Soliz, socióloga, diputada ecuatoriana de la Revolución ciudadana de Rafael Correa, y Hugo Moldiz, periodista, ex ministro boliviano en el gobierno de Evo Morales.

Tania solicitó a los invitados una actualización sobre la situación en sus respectivos países, donde por la ineptitud del gobierno de facto de Jeanine Añez en Bolivia, y por el cambio neoliberal de Lenin Moreno en Ecuador, el pueblo sufre aún más por la pandemia.

Moldiz ha retomado la tesis de su libro, Golpe de Estado en Bolivia, la soledad de Evo Morales, publicado por Ocean Sur con un prefacio de Atilio Borón. Estamos enfrentando, dijo, una nueva forma del Estado de excepción, que está avanzando con el escudo de la pandemia. De hecho, las elecciones se posponen indefinidamente, con un aplazamiento continuo de las fechas, decididas fuera de los procedimientos establecidos por la constitución. Primero, se suponía que las nuevas elecciones presidenciales se celebrarían el 3 de mayo, luego el 2 de agosto, luego el 6 de septiembre, y ahora se posponen hasta el 18 de octubre, sin certeza de que realmente se llevarán a cabo.

Esto, dijo Moldiz, es una primera señal de la involución reaccionaria en curso, cuyo objetivo es cancelar los derechos y prohibir las fuerzas políticas que los garantizaron en el estado plurinacional liderado por Evo Morales.

Una segunda señal llegó con la promoción de los militares por decreto, mientras que la constitución prevé la ratificación por parte del Parlamento. Un tercero está dado por el intento continuo de poner fuera de juego al Movimiento al Socialismo, como sucedió en Ecuador con Correa y Alianza País.

El choque entre el poder ejecutivo y el del Parlamento plurinacional indica, para Moldiz, que los golpistas tratarán de sacar ventaja de sus relaciones de poder: cerrando todos los espacios de participación popular en las instituciones, y también eliminando liberales democráticos como Carlos Mesa.

Las encuestas dicen, de hecho, que si se hubiera votado en septiembre, la golpista Añez habría obtenido solo el 10% del consenso, el candidato de centro derecha, Carlos Mesa habría tomado el 26%, mientras que Luis Arce, del MAS, habría totalizado al menos 44%: lo que significa que, según la ley electoral, sacando en la primera vuelta un destacamento de al menos 10 puntos del segundo clasificado, Arce se habría convertido en presidente.

Evo Morales también había ganado en la primera ronda, recordó Moldiz, pero el trabajo sucio de la Organización de Estados Americanos (OEA) inventó un supuesto fraude, sentando la alfombra roja para el proyecto de golpe en curso. Para el ex ministro, haber invitado a la OEA atribuyendo un caracter vinculante a su observación electoral fue una subestimación imperdonable.

Su análisis es que, en Bolivia, se ha materializado lo que parece ser un cambio de dirección en las políticas imperialistas en América Latina: la imposición de «democracias con caracteres autoritarios» que buscan borrar la fase de los gobiernos progresistas para volver «a la época de Carter, Reagan y Bush».

Durante el ciclo de gobiernos socialistas o progresistas, que han gañado desde la victoria de Hugo Chávez en Venezuela, las fuerzas del cambio han tratado de utilizar los espacios de la democracia representativa burguesa para cambiar las relaciones de poder a favor de las clases populares desde las instituciones.

Sin embargo, no tuvieron éxito por completo. Y ahora las clases dominantes, que dependiendo del momento histórico hacen uso de la democracia burguesa o de la dictadura, moduladas de diversas maneras, intentan cerrar estos espacios de democracia participativa, enmascarando las formas de representación para apenas salvar las apariencias.

Se puede ver no solo en Bolivia o Ecuador o Brasil, sino también en Uruguay o Salvador, donde el peso de los militares subordinados a los EE. UU. dentro de las instituciones, está creciendo. Después del golpe, hay más de cien presos políticos en Bolivia, pero, dijo el ex ministro, ningún organismo internacional, y menos europeo, tan diligente en acusar a la Venezuela bolivariana o a Cuba, alza su voz para defenderlos.

En esta etapa, el capitalismo está volviendo a una «forma de acumulación originaria, tanto a través del robo directo de recursos como con el robo internacional, como lo está haciendo con Venezuela». Al mismo tiempo, trata de influir en el consenso, distorsionando la percepción de los sectores populares con sus poderosos medios de propaganda.

El video de una transmisión argentina, durante el cual una arrogante periodista intentó extorsionar declaraciones contra Maduro al diputado Aníbal Fernández, dio una prueba concreta de esto.

Ciertamente, tanto en Bolivia como en Ecuador, las fuerzas alternativas deben preguntarse a fondo sobre las causas que llevaron a la situación actual, tratando de corregir los errores. Cuando gobiernas, tanto Moldiz como Soliz estuvieron de acuerdo, necesitas un partido que continúe haciendo crecer la conciencia y construyendo el poder popular permanentemente. Una tarea que ahora parece ardua, pero más que nunca necesaria para no inclinar la cabeza, sino para volver a recuperar los espacios perdidos con un proyecto y un compromiso renovados.

La de un partido que sabe ser «de cuadros y de movimiento», es una fortaleza disponible para la revolución bolivariana y con la que se prepara para enfrentar las elecciones parlamentarias del 6 de diciembre. Tania resumió los pasajes que las prepararon involucrando en el diálogo todos los partidos que no recurren al golpismo como su principal proyecto. Un camino transparente y plural, que sin embargo está distorsionado por los principales medios de comunicación internacionales.

Venezuela. Supermercado iraní abre sus puertas en Caracas

Resumen Latinoamericano, 30 julio de 2020.

Comienza a funcionar en la capital de Venezuela, el primer supermercado iraní.

Megasis es el nombre de un nuevo emprendimiento de empresarios privados iraníes en Venezuela. Se traduce en un gran supermercado que abre sus puertas en Caracas y que presenta más de 2 mil productos iraníes.

Ha sido puesto en marcha en una ceremonia con la cinta inaugural con las banderas de los dos países, y un acto con presencia de funcionarios, diplomáticos y empresarios, además de los más de 120 nuevos trabajadores.

El supermercado presenta más de 2 mil productos iraníes, junto a un 30 por ciento de productos de empresas privadas venezolanas. El impulsor del proyecto, Isa Rezai, declaró que de esta forma, Irán expresa su apoyo a Venezuela.

Entre los productos importados destacan productos esenciales, como azúcar y harinas, y también atún y otros enlatados. En una recorrida se pueden observar precios por debajo de lo que se ofrece en cadenas privadas venezolanas.

En el acto de inauguración, las autoridades recordaron que este supermercado es el primero de una extensa red que esta empresa iraní plantea poner en funcionmiento en varios puntos de Venezuela.

* Fuente: Hispan TV

30 de julio de 2020

Bye Bye Benjamin! Russia & China speed up de-dollarization process: most trade no longer conducted in greenbacks


Bye Bye Benjamin! Russia & China speed up de-dollarization process: most trade no longer conducted in greenbacks
After years of talking about abandoning the US dollar, Russia and China are doing it for real. In the first quarter of 2020, the share of the dollar in trade between the countries fell below 50 percent for the first time.

To give an indication of the scale of the adjustment, just four years ago the greenback accounted for over 90 percent of their currency settlements.

According to Moscow daily Izvestia, the share has dropped to 46 percent, tumbling from 75 percent in 2018. The 54 percent of non-dollar trade is made up of Chinese yuan (17 percent), the euro (30 percent), and the Russian ruble (7 percent).

The dollar's reduced role in international trade can mainly be blamed on the ongoing trade war between the US and China. Relations between the two countries have deteriorated even further in 2020, after US politicians accused Beijing of hiding the severity of Covid-19 and President Donald Trump called disease the "China Virus" and "Kung Flu."

ALSO ON RT.COMKremlin rubbishes American suggestion that Moscow & Washington form anti-China alliance

In January, Russian Foreign Minister Sergey Lavrov explained that Moscow is continuing "its policy aimed at gradual de-dollarization" and is looking to make deals in local currencies, where possible. 

Lavrov called the rejection of the greenback "an objective response to the unpredictability of US economic policy and the outright abuse by Washington of the dollar's status as a world reserve currency."

Movement away from the dollar can also be seen in Russia's trade with other parts of the world, such as the European Union. Since 2016, trade between Moscow and the bloc has been mainly in Euros, with its current share sitting at 46 percent.

Alerta Venezuela

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