Cervantes

Hoy es el día más hermoso de nuestra vida, querido Sancho; los obstáculos más grandes, nuestras propias indecisiones; nuestro enemigo más fuerte, el miedo al poderoso y a nosotros mismos; la cosa más fácil, equivocarnos; la más destructiva, la mentira y el egoísmo; la peor derrota, el desaliento; los defectos más peligrosos, la soberbia y el rencor; las sensaciones más gratas, la buena conciencia, el esfuerzo para ser mejores sin ser perfectos, y sobretodo, la disposición para hacer el bien y combatir la injusticia dondequiera que esté.

MIGUEL DE CERVANTES
Don Quijote de la Mancha.

31 de agosto de 2020

HUIT THÈSES SUR L’IMPÉRIALISME AMÉRICAIN ET LES LUTTES ANTI-IMPÉRIALISTES AU 21ÈME SIÈCLE, PAR RAMON GROSFOGUEL

 Publié par Venezuela infos dans Etats-UnisFormation intégrale / formation sociopolitiqueimpérialismephilosophierelation Sud-Sud

Ce texte a été prononcé par le professeur Ramón Grosfoguel lors du cycle international « Notre Amérique dans les plans de l’impérialisme », lors de la réunion « Regards depuis l’Amérique du Nord » le 25 août 2020. Sociologue formé à l’Université de Puerto Rico et à la Temple University de Pennsylvanie (avec un Post-Doctorat, à la Maison des Sciences de l‘Homme, Centre Fernand Braudel, Paris) Ramon Grosfoguel est internationalement reconnu pour son travail sur la décolonisation du savoir et du pouvoir ainsi que pour son travail sur les migrations internationales et la politico-économie du système mondial. Il a été chercheur associé à la Maison des Sciences de l’Homme à Paris pendant de nombreuses années et enseigne actuellement à l’Université de Berkeley, où il travaille au sein de l’équipe de chercheurs « Modernité/colonialité ». Site : https://ethnicstudies.berkeley.edu/people/ramon-grosfoguel-1/

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THÈSE 1 : Le cycle de l’hégémonie américaine dans le système-monde est entré en crise terminale. L’hégémonie américaine, qui a commencé après la Seconde Guerre mondiale en 1945, a pris fin en 2020. Le nouveau centre de l’économie capitaliste mondiale s’est déplacé en Chine. Les États-Unis sont aujourd’hui l’épicentre de la pandémie avec le plus grand nombre de victimes au monde et l’épicentre de la Grande Dépression mondiale du système capitaliste mondial, avec plus de 50 millions de personnes ayant perdu leur emploi au cours des 12 dernières semaines.

THÈSE 2 : Le déclin de l’empire américain est une bonne nouvelle pour le monde à long terme, mais une mauvaise nouvelle à court terme pour l’Amérique latine. Après avoir perdu les guerres au Moyen-Orient, et après avoir perdu la guerre commerciale avec la Chine en Afrique et en Asie, l’empire se replie sur la seule chose qui lui reste, sa périphérie historique : l’Amérique latine et les Caraïbes. Cela signifie que la politique états-unienne dans notre région deviendra plus agressive et plus guerrière à mesure que la chute de l’empire s’accélère. L’empire cherche à monopoliser les ressources naturelles et les marchés de la région et cherche à récupérer les pays perdus afin de préserver son statut impérial dans le monde. D’où la vague de coups d’État, doux ou durs, de la dernière décennie, le dernier contre le gouvernement d’Evo en Bolivie en novembre dernier, et la guerre de 4ème génération contre le Venezuela.

THÈSE 3 : Les prochains mois seront des moments de grande tension pour le Venezuela. L’administration Trump est confrontée à une élection qu’elle craint de perdre. En désespoir de cause, elle utilise la Colombie avec son gouvernement fantoche néocolonial, narco-politique et parapolitique – ainsi que les pays voisins – pour faire monter cette tension et si possible créer un conflit qui détournera l’attention des problèmes intérieurs des États-Unis en pleine élection présidentielle.

Un classique de l’Empire : détourner la discussion de ses problèmes internes par des aventures guerrières dans le monde. Alors qu’au Moyen-Orient, ils ont usé de la rhétorique du « terrorisme islamique » pour justifier leur terrorisme d’État en détruisant des pays et en tuant des millions d’êtres humains, en Amérique latine, ils recourent à la rhétorique du trafic de drogue. Nous avons assisté à leur invention d’un cartel (El Cartel de los Soles) par le martèlement de « fake news », pour accuser le président Maduro et la direction du gouvernement bolivarien d’en être les chefs. Ce sont des prétextes pour neutraliser l’opinion publique mondiale, mais surtout pour l’opinion publique au sein de l’empire. C’est pourquoi la bataille de l’information devient fondamentale et la préparation au pire doit être organisée afin qu’il n’y ait pas de surprises.

THÈSE 4 : L’empire se débat entre deux versions de la suprématie blanche : la version de l’apartheid et du racisme ouvert et flagrant représentée par Donald Trump avec les groupes terroristes suprémacistes blancs qui le suivent, et la version du nouvel apartheid libéral multiculturel dirigé aujourd’hui par Joe Biden. La version du nouvel apartheid libéral multiculturel des administrations Clinton, Bush et Obama cherche à donner un visage multiculturel et multiracial à la suprématie blanche afin que rien ne change.

THÈSE 5 : Ces deux versions de la suprématie blanche sont deux réponses différentes face au fait que les états-uniens blancs sont en train de devenir une minorité démographique au cours des deux prochaines décennies. La population qui croît le plus rapidement est celle des Latinos. La réponse du vieil apartheid de Trump est de dresser un mur à la frontière sud pour arrêter la croissance de la population latino. La réponse libérale multiculturelle est de donner un visage multiracial à l’État impérial en intégrant les élites des groupes racialement inférieurs dans l’administration de l’État, et cela tant que l’État racial blanc et les élites capitalistes blanches continueront à gouverner et que les groupes représentés par ces élites noires et latino resteront appauvris et super-exploités. C’est pourquoi nous avons des ministres noirs et latinos, un ancien président noir et maintenant un candidat noir à la vice-présidence sans que rien ne change en termes de capitalisme, d’impérialisme et de racisme aux États-Unis. L’important est de garder à l’esprit que ces versions concurrentes de la suprématie blanche américaine sont les deux faces d’une même pièce. Leurs différences sont secondaires et se situent en lien avec la politique intérieure de l’empire. En ce qui concerne la politique étrangère de l’empire, elles ne font aucune différence. C’est pourquoi nous ne pouvons nous faire d’illusions sur aucun président américain : que ce soit la version de Donald Trump de l’ancien apartheid ou la version de Joe Biden du nouvel apartheid libéral multiculturel. La politique agressive de l’empire dans son déclin va s’intensifier à l’égard de l’Amérique latine et surtout du Venezuela, quel que soit le vainqueur des élections. Tant que la Maison Blanche sera blanche, quel que soit le président qui l’occupera, l’État restera un État capitaliste racial suprémaciste blanc.

THÈSE 6 : Cette croissance démographique des populations non blanches qui deviendront majoritaires au sein de l’empire dans 15-20 ans a le potentiel de renforcer les luttes anti-impérialistes au sein de l’empire vers la décolonisation et la disparition de la barbarie de l’État américain capitaliste racial en tant qu’empire et sa transformation en un pays civilisé au niveau international qui se comporterait avec solidarité, en paix et dans un rapport d’égalité avec les peuples du monde. Ces luttes ont été jusqu’à présent invisibles en dehors des États-Unis en raison du blocus médiatique. Mais ces luttes anti-impérialistes au sein de l’empire existent et ont un grand potentiel stratégique. Rappelons que la guerre du Vietnam a été gagnée non seulement par la lutte héroïque du peuple vietnamien mais aussi par les puissantes mobilisations au sein de l’empire contre la guerre du Vietnam. Et l’empire ne tombera que des luttes anti-impérialistes depuis l’intérieur corrélée à l’affaiblissement causé par les luttes anti-impérialistes depuis l’extérieur.

THÈSE 7 : Face au 21ème siècle, une lutte anti-impérialiste ne peut être pensée sans coordination avec les luttes anti-impérialistes au sein de l’empire. Au XXIe siècle, l’empire se débat entre la suprématie blanche dans l’une ou l’autre de ses deux versions et la lutte pour la décolonisation de l’empire de l’intérieur. La population latino et d’autres groupes au sein de l’empire comme les noirs, les indigènes et les migrants est stratégique. L’évolution démographique ouvre un potentiel de décolonisation. Ce n’est pas automatique comme nous l’avons vu avec la présidence Obama où l’impérialisme et l’état racial n’ont pas changé. Il s’agit d’organiser le travail politique en vue de la décolonisation de l’empire de l’intérieur, qui, en solidarité avec les autres peuples, développe une lutte anti-impérialiste globale pour la destruction de l’empire.

THÈSE 8 : Tout comme on ne peut penser à l’anti-impérialisme du 21e siècle sans la coordination des luttes anti-impérialistes au sein de l’empire, on ne peut penser à l’anti-impérialisme du 21ème siècle sans la diversité épistémique. Nous devons penser à un anti-impérialisme qui ne peut pas avoir comme point de départ une seule épistémologie ou vision du monde. L’anti-impérialisme du XXIe siècle doit être épistémiquement et spirituellement pluriversel, diversifié et pluriel. La paix, la solidarité et le droit souverain à l’autodétermination des peuples doivent être les principes de l’unité anti-impérialiste dans le respect des diverses spiritualités et épistémologies. Et il doit avoir pour thème central la défense de la VIE car le système impérialiste avec sa destruction écologique de la planète nous conduit à la mort.

Ramon Grosfoguel

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Avec le philosophe mexicain Enrique Dussel, d’autres intellectuels décoloniaux et le Président Nicolas Maduro, à Caracas en 2018, pour la création de l’Institut Décolonial.

Traduction : Julie Jaroszewski

Source : http://mppre.gob.ve/wp-content/uploads/2020/08/GROSFOGUEL-TESIS-DEL-IMPERIO.pdf

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Sabotaje electoral del G4 en Venezuela

 29 agosto 2020

Sabotaje electoral del G4 en Venezuela
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En poco más de 3 meses, el 6 de diciembre, se celebrarán las elecciones parlamentarias en Venezuela. Las anteriores se celebraron el 6 de diciembre de 2015 y la oposición obtuvo mayoría gracias a la abstención de 2 millones de votos chavistas que decidieron quedarse en casa y no votar.

Sabotaje electoral del G4 en Venezuela

Pero las circunstancias hoy son otras y el chavismo se encuentra unido después de haber sorteado infinidad de ataques políticos, económicos y militares provenientes del imperialismo estadounidense y sus cipayos locales, ataques intensificados desde la autoproclamación de Guaidó el 23 de enero del 2019.

Es por eso que el ala más radical de la oposición venezolana, agrupada en el llamado G4 (Voluntad Popular de Leopoldo López, Primero Justicia de Henrique Capriles, Acción Democrática y Un Nuevo Tiempo) planea, con el apoyo de Estados Unidos, boicotear el proceso electoral y reactivar la movilización en la calle.

Fuentes colombianas con acceso a funcionarios estadounidenses y a líderes de oposición venezolanos, conocieron de una reciente reunión por videoconferencia celebrada entre miembros de la oficina externa de EE.UU. para Venezuela en Bogotá (VAU) y varios líderes opositores del G4 encabezados por Leopoldo López, Presidente de Voluntad Popular. En dicha reunión se ultimaron procedimientos para sabotear las elecciones de diciembre.

Sin embargo, llama poderosamente la atención que a esa reunión no asistió Juán Guaidó, por lo tanto parece que el eje y apoyo estadounidense se inclina de nuevo hacia alguien con credenciales violentas como el líder de Voluntad Popular.

En esa reunión Leopoldo López, ya con experiencia en el sabotaje violento, pidió a cada partido del G4 que procediera de inmediato al reclutamiento de 100.000 voluntarios con el objetivo de movilizarlos previamente pero sobre todo, el día de las elecciones, para abarcar todas las mesas electorales del país.

La fuente, que asistió a la reunión por videoconferencia, revela que, según explicó Leopoldo López, los voluntarios deben tener la capacidad de manipular y documentar irregularidades reales y supuestas ocurridas en el proceso, por ejemplo, el uso de recursos del Estado por parte del PSUV y partidos afines. Otros objetivos son demostrar una baja afluencia de votantes, evidenciar violaciones de las fuerzas del Plan República, participar decisivamente en la desmovilización del voto, y algo que es clave, realizar actividades de protesta y “resistencia civil” para entorpecer tanto el voto oficialista como de los sectores dialogantes de la oposición que legitimarían la nueva Asamblea Nacional.

El G4 no va a participar de la contienda electoral, por lo tanto su objetivo parecer ser documentar a partir de su propia injerencia para luego intentar convencer a la comunidad internacional de lo antidemocrático del proceso. El reto además es que eso sirva para convencer al antichavismo de lo acertado de una estrategia que les va a dejar fuera de la próxima AN.

Pero el líder del G4 fue más allá, planteando un objetivo más ambicioso de 200.000 voluntarios que les permitirían tener unos 25 activistas por cada centro de votación, sugiriendo tomar como base la data de voluntarios levantada para la fracasada operación de “ayuda humanitaria” que pretendieron introducir de Colombia a Venezuela en febrero de 2019.

Richa Bhala, funcionario de la VAU responsable de operaciones de contrainteligencia desde su cargo de Vicecónsul de la Embajada de Estados Unidos en Islamabad (Pakistán), aceptó con elogios la propuesta insistiendo en la necesidad de ampliar la plataforma opositora. Por su parte, Rafael Foley, jefe de la oficina externa de Estados Unidos para Venezuela en Bogotá, insistió en que el G4 debe pasar de una oposición más o menos estructurada a una estructura de resistencia y desobediencia civil que trascienda los 4 partidos políticos opositores.

Al parecer y según las mismas fuentes, próximamente verá a la luz un llamamiento por parte del G4, que buscaría sumar nuevas fuerzas a una nueva plataforma opositora.

Si bien parece que la estrategia de boicot pasa de nuevo por la violencia, una vez dejado atrás el efecto Guaidó, que resultó ser un bluf que cohesionó al chavismo, en la nueva plataforma opositora continuarán confluyendo las mismas contradicciones y aspiraciones de los partidos políticos tradicionales, que no han logrado unirse en torno a nada, más allá de su odio al chavismo y su subordinación a Estados Unidos.

En cualquier caso, el 6 de diciembre está marcado con rojo en la agenda de la oposición venezolana, que buscará dar un nuevo paso en su intento de derrocar al chavismo.

Pase lo que pase en las elecciones estadounidenses, pues aunque no gane Trump permanecen los mismos intereses que llevaron a Obama a firmar una orden ejecutiva declarando a Venezuela peligro para la seguridad nacional de los Estados Unidos, en 2021 comienza un nuevo capítulo de la revolución bolivariana y chavista que resiste en la defensa de su petróleo y soberanía nacional.

Guajirita Soy: La "mala intención" de quienes niegan la vacuna cubana

 

Posted: 31 Aug 2020 05:55 AM PDT


Le llamaré mala intención por no ponerle otro nombre más duro, más agresivo. Le llamaré así a la actitud de los que dicen que Soberana no es nuestra, que no existe.
En estos días he recibido mensajes diciéndome que por comunista, ciberclaria y otros adjetivos menos publicables me cogerían de conejillo de indias para probar la vacuna Rusa contra la Covid, que no hay tal vacuna cubana, que le han pagado a Cuba una barbaridad de millones para que la pruebe con nosotros, etc.etc.

Yo no perdí ni un segundo en contestar, sin embargo vi en las redes hace poco a una de las mujeres científicas que han estado al frente de este logro, Dagmar García , explicándole a alguien las diferencias entre una y otra vacunacon una humildad enorme, entonces recordé a su padre.
José Luis García Cuevas fue mi profesor hace casi 40 años, excelente, capaz, de los mejores que tuve. Cursaba yo el 4to año de la carrera, él era vicerrector de la UCLV y por tener tantas responsabilidades siempre le dejaban el último turno de la tarde en la programación (de 5 a 7).
Yo estaba ya embarazada de mi hija mayor.
Al terminar la clase siempre decía la misma frase...La barrigona y dos más para Santa Clara… El vicerrector de Investigaciones de la Universidad le ofrecía botella en su carro a tres alumnos y la barrigona (yo), tenia prioridad.
Cuando terminó el curso, por la fecha de parto que tenía no me daba tiempo a hacer el examen con el resto de mis compañeros, le pedí que me lo adelantara. Ni corto ni perezoso, me dijo…Claro que sí lo hacemos cuando quieras…, dos días después me sentó en su buró y me puso un examen solo para mí.
¿Será que la humildad se hereda? A mí me parece que no, la humildad se enseña, se ejercita en casa y nuestros hijos la aprenden.
Yo agradezco a Dios por haber tenido frente a mí un profesor como José Luis. De la electrónica que me impartió ya no sé nada porque no ha estado en mi práctica diaria, pero las lecciones de vida que me dio no las olvidaré nunca.
Yo le agradezco a Dios que su hija Dagmar sea tan inteligente como él y que siga su mismo camino.
Confío en Dagmar y en todos los que estuvieron involucrados en la obtención de Soberana.
Sus virtudes son innegables y no las ensucia la mala intención de los calumniadores.

Avanza protocolo de uso de plasma de convalecientes en pacientes con COVID-19

 



Prensa Mincyt/Karina Depablos.- El Protocolo de Uso de Plasma de Convalecientes, o inmunoterapia pasiva en el tratamiento de la COVID-19, activado por el Gobierno nacional, avanza con resultados positivos en Venezuela.

El presidente de Quimbiotec, Gregorio Sánchez, informó que emplear plasma de personas recuperadas del nuevo coronavirus para el tratamiento de otros pacientes, que se encuentran en situación moderada o grave de la enfermedad, es una alternativa científicamente fundamentada y segura que ha sido empleada en el mundo desde hace más de cien años para tratar enfermedades emergentes, infecciosas, particularmente virales.

“Este protocolo, elaborado por Quimbiotec y el Banco Municipal de Sangre del Distrito Capital con el acompañamiento del Comité Terapéutico Nacional del Ministerio de Salud y del Consejo Científico Presidencial, contempla el uso de plasma de personas recuperadas de la COVID-19 para ayudar a aquellas personas que aún luchan contra esta enfermedad en los distintos centros asistenciales del país”, expresó.

En este sentido, el galeno explicó que el plasma de convalecientes ha sido utilizado en otras enfermedades producidas por coronavirus como el SARS y MERS, y empezó a usarse muy temprano con la aparición del SARS-CoV-2, en China, en Europa y en Estados Unidos.

“China, Italia, Irán, Cuba, Colombia, Argentina y otros países han aplicado plasma de convalecientes en sus pacientes. Ahora, Venezuela se suma a esta alternativa terapéutica que convoca al espíritu altruista y solidario del pueblo venezolano para ayudar a otros a salvar sus vidas”, manifestó.

Durante una jornada de trabajo de la Comisión Presidencial para Prevención, Contención y Control del Coronavirus, el doctor Gregorio Sánchez indicó que el plasma de convaleciente es otro derivado de la sangre, seguro, y ya ha arrojado resultados positivos en la recuperación de pacientes afectados por COVID-19 de forma moderada y grave.

“Hago un llamado a todas aquellas personas, sobre todo hombres y mujeres mayores de 18 años, que hayan tenido COVID-19, para que se comuniquen a través del 0800 PLASMA1 (752762-1), una línea abierta del Ministerio de Salud para recoger las iniciativas voluntarias, solidarias y altruistas de aquellas personas que están conscientes que pueden contribuir con sus defensas para ayudar a enfermos con coronavirus en situación crítica”, subrayó.

Añadió Sánchez que Quimbiotec ya inició la recolección de plasma de convaleciente en el Distrito Capital, en varios establecimientos públicos y privados; así como en el Hospital Universitario de Maracaibo y en el Centro Hematológico de Occidente, ambos en el estado Zulia.

29 de agosto de 2020

Venezuela. Familiares de comunicadores populares asesinados a manos del Faes emiten carta pública al FGR Tarek Williams Saab

 By  on 28 agosto, 2020

Resumen Latinoamericano, 28 de agosto de 2020.

Familiares de los jóvenes comunicadores populares que fueron asesinados el pasado viernes a manos de funcionarios del FAES en el estado Zulia emitieron una carta pública al Fiscal General de la República Tarek Williams Saab. A continuación la misma.

CARTA PÚBLICA

CIUDADANO

TAREK WILLIAMS SAAB

FISCAL GENERAL DE LA REPÚBLICA

SU DESPACHO.-

NOSOTROS, FRANKLIN TORRES RAMIREZ, C.I. 6.906.514 Y GÉNESIS TORRES GUERRA, C.I. 29.954.403, padre y hermana, respectivamente de VICTOR MANUEL TORRES GUERRA y ALEXIS ALBERTO NIEVES, C.I. 4,194.254 y ANDYS LUIS NIEVES ZACARÍAS, C.I. 15.973.796, padre y hermano, respectivamente, de ANDRÉS ELOY NIEVES ZACARÍAS, representados en este acto por el Abogado DOUGLAS ADSONY QUERALES CORDERO, C.I. 5.712.063, abogado en ejercicio, como familiares de los jóvenes mencionados, vilmente ejecutados por funcionarios de las llamadas Fuerzas de Acciones Especiales (FAES), adscritos a la Policía Nacional Bolivariana (PNB) en horas de la tarde del pasado viernes 21 de agosto de 2020, en el Sector «Los Cocos», calle El Carmen del Casco Central de Cabimas del Estado Zulia, acudimos a su competente autoridad para exponer:

Con Beneplácito hemos seguido su oportuna y diligente actuación, una vez que tuvo conocimiento de los dolorosos hechos en los que perdieron la vida nuestros deudos de manos de funcionarios del FAES que con su abominable proceder manchando los propósitos con los que originalmente fue creado ese cuerpo policial desviando en ciento ochenta grados la loable misión de preservar la paz y seguridad ciudadana, vulnerando así, el Estado de Derecho y el Capítulo de la Constitución de la República Bolivariana de Venezuela referente a los Derechos Humanos y Garantías, de los Deberes, el cual usted fue co-redactor e inspirador como constituyente de 1999.

Ahora en su condición de Fiscal General de la República no podíamos esperar menos de usted en la defensa a ultranza de la letra constitucional y defensa de la vida y los Derechos Humanos en general para actuar firmemente hasta castigar con todo el peso de la Ley el proceder de quienes logran sortear los procedimientos de ingreso para infiltrarse y cometer crímenes de impacto sicológico, social y político en nuestra sociedad con propósitos inconfesables.

Así, el pasado 23 de agosto, a través de su cuenta de Twitter, usted hizo pública la orden de investigar los hechos y practicar las siguientes diligencias; identificación de testigos y vehículos, planimetría, trayectoria y comparación balística, experticia de las armas, trazas telef, identificación de funcionarios actuantes, etc. Para ello, designó a los fiscales 45 de Derechos Fundamentales. Dr. Yorman Villasmil, y 15, de Delitos comunes, Dr. Joaquín Reina, con el propósito de garantizar la Justicia para impedir la impunidad, a la 1:40 pm. fueron publicados sus tuits, y ya a las 4 pm. hasta pasada la medianoche del mismo día los fiscales designados y los auxiliares técnicos y científicos del C.I.C.P.C. estuvieron ejecutando lo ordenado.

Seguidamente, el día 24 de agosto, se solicitaron las primeras órdenes de aprehensión a seis (06) de los partícipes en el crimen, recayendo en: José Salas, Oficial Jefe, Néstor Olano, Oficial agregado, Nerio Alvarez, oficial agregado, Andrés Díaz Oficial de la PNB FAES, José Moreno, Oficial agregado y José Conteras, oficial agregado, por los delitos de Homicidio calificado con alevosía, uso indebido de armas, simulación de hecho punible, abuso de autoridad y violación de domicilio.

Andres Nieves Zacarías y Victor Guerra.

El día 25 de agosto, en alocución nacional a través de los medios televisivos y radiales intervino para informar con detalles al país lo sucedido y las acciones emprendidas y el combate sin cuartel a las prácticas policiales criminales.

A pesar del dolor que nos embarga y de la irreparable pérdida de nuestros deudos Andrés Eloy Nieves Zacarías y Victor Manuel Torres Guerra, cegadas sus vidas en plena juventud, agradecemos públicamente su decidida y valiente actuación para enfrentar con el propósito de extirpar ese tumor maligno de tipo cancerígeno que representa la práctica de funcionarios que investidos por el estado de autoridad para combatir el crimen y las bandas criminales organizadas que mancillan y lesionan cobardemente la misión encomendada por el Estado.

Ahora bien, ciudadano Fiscal General, como quiera que este es una batalla ardua de vigilancia y control social permanente, en el que la ciudadanía debe jugar un rol protagónico, denunciando en tiempo oportuno las tenebrosas desviaciones cometidas por algunos funcionarios policiales, es por lo que presentamos las siguientes peticiones:

  1. La debida protección de los habitantes del sector «Los Cocos» del Casco Central de Cabimas, puesto que durante estos días han estado circulando vehículos extraños a la comunidad con vidrios ahumados, suponemos que con fines de crear terror para amedrentar la posición firme de los testigos del hecho. Así mismo, solicitamos protección para nosotros los familiares de los ejecutados para poder realizar las diligencias con plenas garantías para nuestra integridad física.
  2. La pronta recuperación de los equipos de trabajo del medio de comunicación alternativo La Guacamaya TV para que puedan continuar con su misión informativa y demás enseres sustraídos de la vivienda.
  3. Profundizar las averiguaciones hasta determinar penalmente el grado de participación en la comisión de los delitos supra señalados del resto de los funcionarios actuantes en el despliegue criminal, así como activar la búsqueda y captura de los evadidos una vez que conocieron de la orden de aprehensión.
  4. Ordenar una exhaustiva investigación activando el aparato de inteligencia y seguridad política del Estado que detecte el grado de infiltración de sujetos que han logrado burlar los controles o perfiles de ingreso a los distintos cuerpos policiales del país, así como a los que han alcanzado el grado de jefes policiales para determinar hasta qué punto hayan podido ser «tocados» por factores internos y externos del país, enemigos de la revolución bolivariana con fines desestabilizadores y/o facilitadores a través de sus acciones para que se aperturen denuncias ante los organismos penales internacionales y de Derechos Humanos que conlleven a fabricar expedientes para declarar la condición de Estado fallido.

Dr. Tarek Williams Saab, así como hemos sentido que contamos con usted, cuente usted con el agradecimiento eterno de nosotros por ser justo y valiente, parafraseando a Benedetti, le decimos, usted sabe que puede contar con nosotros no hasta dos o hasta diez, sino contar con nosotros, que seremos constantes como la estrella Polar. El mejor homenaje a nuestros deudos sería, continuar sin descanso, construyendo el sueño de un mundo mejor, y tal como lo expresara Argimiro Galbaldón con el decimos.

Tu pena y mi pena y la de todos

Es una sola pena militante

Armada es el fuego que arde en la alborada

La revolución que avanza desbordada

Hacia el milagro de las cadenas rotas

Y el gran sufrimiento se tornará alegría

Emergerá del fuego un mundo diferente

Será el llanto detenido

Y dejara la sangre de correr, asesinada

Se esparcirá la risa

Y los niños puros como pájaros

En vuelo llenaran los parques con sus gritos

Y nosotros estaremos allí, ¡seguro que estaremos!

Como una llama ardiendo eternamente

Somos la vida y la alegría,

En tremenda lucha contra la tristeza y la muerte.

Es auténtico, en Cabimas a los 26 días del mes de agosto de 2020

Venezuela. Intentos y ensayos de división de la izquierda: un recorrido de dos décadas

 By  on 29 agosto, 2020

Resumen Latinoamericano, 29 de agosto de 2020.

En las próximas elecciones parlamentarias, el Partido Comunista de Venezuela (PCV) y facciones de Patria Para Todos (PPT) vinculadas al ex secretario general de ese partido, Rafael Uzcátegui, no participarán como aliados del Gran Polo Patriótico (GPP).

Bajo la tolda del PCV (pues se designó una junta ad hoc en el PPT -a petición de sus miembros- que sí plantea aliarse con el GPP) un sector de la izquierda venezolana está ofertando candidatos “independientes”, ignorando los llamados que el gobierno venezolano ha realizado para mantener la unidad y recuperar la Asamblea Nacional, espacio que durante cinco años le ha servido al antichavismo para conjurar el bloqueo contra Venezuela, deslegitimar el resto de los poderes del estado y conspirar a favor de operaciones golpistas, todo bajo la dirección de Estados Unidos.

Aunque en principio estas organizaciones de izquierda se presentan como una fuerza crítica frente a Nicolás Maduro y la conducción política del gobierno, ¿son inéditas estas posturas divisionistas con respecto al chavismo? Revisemos los datos y veremos que no.

Divisiones de la izquierda en 1998: ¿con o en contra de Chávez?

En el trayecto que lo llevó a las elecciones presidenciales de 1998, Hugo Chávez contactó con diferentes organizaciones sociales, movimientos sindicales y partidos políticos de izquierda. Chávez tenía en sus manos un proyecto de República, fundamentado en las ideas bolivarianas, y la propuesta de una Asamblea Constituyente para refundar el estado venezolano.

Desde que salió de la cárcel de Yare, recorrió un camino político complejo, bordeado con partidos de todos los espectros ideológicos que habían perdido legitimidad en el país.

Chávez no era precisamente aceptado por muchos dirigentes fundamentales de la izquierda venezolana; sus partidos, dijo él a Ignacio Ramonet (Mi primera vida, 2013) que: “no entendieron nada. Lo que había era aprovechamiento electorero y oportunismo (…) El Secretario del Partido Comunista (PCV) afirmó, cuando yo salí de la cárcel, que ‘la presencia del caudillo Chávez le hace daño al movimiento popular’. Se oponía a que yo asistiera a marchas y manifestaciones”.

Cuando vinieron las elecciones regionales, la consigna de Chávez era: “Por ahora, ninguno; ¡Constituyente, ya!”; otro elemento que le granjeó la condena de sectores de izquierda. Andrés Velásquez (La Causa R) y Pablo Medina (PPT) opinaban en su momento que “no sabía nada de política” y que “estaba interfiriendo”.

Electores participan en la consulta de la Asamblea Nacional Constituyente de 1999, Caracas. Foto: Archivo

El Movimiento V República (MVR) fue registrado en julio de 1997 y se oficializó la participación de Hugo Chávez como candidato presidencial.

Una vez que el programa bolivariano ganó solidez entre las bases populares, después que sus fundamentos fuesen discutidos en todo el país, haciéndose más evidente la oportunidad de triunfo de Chávez, entonces: “el Partido Comunista decidió salirse del gobierno (respaldaban la administración de Rafael Caldera) y anunciar, sin nosotros haberlo solicitado, que me apoyaba (…) Luego La Causa R, el MAS (Movimiento Al Socialismo) y el MEP (Movimiento Electoral de Pueblo) hicieron lo mismo”, recordaba Chávez a Ramonet.

Fractura con el PPT y sus consecuencias en la Asamblea Nacional

En el año 2000 Venezuela iba a su tercer año consecutivo de elecciones, tras el triunfo presidencial de Chávez y la aprobación de la Constitución que le dio nacimiento a la Quinta República. En estas elecciones se relegitimaron los poderes ejecutivos y legislativos de todas las escalas a nivel nacional.

Chávez veía fundamental la obtención de una mayoría absoluta en la Asamblea Nacional porque determinaría la composición de otros poderes (Fiscalía, TSJ, poder electoral y poder moral).

Sin embargo, desde el seno de las alianzas entre el MVR, PPT, PCV, MEP y una facción del MAS ocurrió una disputa por los cargos que se podían alcanzar y la posibilidad de un consenso sólido se fue por la borda.

Finalmente, el PPT abandonó la alianza. No lanzó otro candidato presidencial, pero fue por su cuenta en la elección de gobernaciones, alcaldías y diputados al parlamento. El resultado fue catastrófico: las fuerzas bolivarianas y chavistas no obtuvieron una mayoría determinante en el parlamento.

Sobre ese evento, Chávez reflexionaba en una entrevista a Marta Harnecker en 2002:

“Ese espacio dejado por el PPT lo ocupó el MAS (partido que ya había marcado distancia con el chavismo). Por desgracia, no pocas de las personas que entraron a la Asamblea Nacional Constituyente resultaron ser personas con poca consistencia ideológica y política. Ahí tienes a (Leopoldo) Puchi y a (Felipe) Mujica que son verdaderos negociantes de la política. Estamos ahora con una Asamblea Nacional con grandes debilidades y esta situación está pesando mucho. Hay como unos 20 cuadros muy buenos del PPT que deberían ser diputados”.

Traición de Luis Miquilena y renuncia de Pablo Medina del PPT

Chávez delegó en Luis Miquilena la dirección del Ministerio de Interior y Justicia. Ocupó ese cargo hasta su ruptura política con el chavismo. Este dirigente asociado a la izquierda estuvo en las filas del PCV, fue aliado del gobierno de Isaías Medina Angarita e hizo oposición a la dictadura de Marcos Pérez Jiménez. Cuando conoció a Chávez, en la prisión de Yare, ya se había retirado de la política.

La influencia que ejerció en los pocos años que acompañó al gobierno de Chávez, explicaba el Comandante, no puede entenderse sin examinar los orígenes de la relación entre ambos. En los años en que el movimiento bolivariano fue minimizado por los partidos tradicionales de izquierda, Chávez halló mayor receptividad en militares y personas que no formaban parte de ningún partido, entre ellos, Miquilena.

Cumplió un papel clave al articular la unidad en la campaña presidencial de 1998 y luego en la campaña constituyente. Más adelante, las diferencias con el proyecto de país de Chávez se hicieron irreconciliables.

Tiempo después, llegó a pedirle al presidente que se retractara de las leyes habilitantes, una exigencia que también hacía la oposición venezolana.

“Amistades, intereses, quizás presiones, a lo mejor la edad, no sé cuántos factores fueron influyendo en aquel ser humano”decía Chávez haciendo un balance de su desenlace.

Luis Miquilena entrega a Chávez la recién aprobada Constitución de la República Bolivariana de Venezuela (2000). Fotos: Archivo

Pablo Medina formó el partido PPT tras haberse alejado de La Causa R y su dirigente Andrés Velásquez, en 1997. Su relación con Chávez fue discontinua, sin ser verdaderamente consistente el apoyo, aunque el partido estuvo presente en la alianza que llevó a la victoria a Chávez en 1998.

La actitud fue agudizándose en las campañas siguientes de alcaldías y gobernaciones. Hubo varios choques contra los candidatos del MVR, durante concentraciones en las que Pablo Medina estuvo presente, lo que hizo responder a Chávez con declaraciones duras sobre la conducta del PPT.

Medina se separó del partido y su cara fue una de las que apareció en Miraflores, cuando se ejecutó el golpe de estado de abril de 2002, maquinado en la Casa Blanca.

“Perdió completamente el horizonte”, sentenció Chávez, “afortunadamente hay un grupo de luchadores como Aristóbulo y muchos otros más, que mantienen en alto la bandera de La Causa R, aquel partido que fundó Alfredo Maneiro”.

Chávez: “Los partidos para mí son como ensayos”

Como casi cualquier año desde que llegó el chavismo al poder, 2006 era un periodo electoral. Dos modelos antagónicos se enfrentaban para la elección del cargo presidencial. Chávez había sido ratificado en el referéndum de 2004 y el proyecto bolivariano había virado hacia un programa de tránsito al socialismo, que tomaba referencias históricas internacionales, pero que mantenía sus raíces en la historia nacional.

La victoria presidencial de 2006 fue la más contundente del chavismo. El candidato de la derecha, Manuel Rosales, fue plenamente identificado con la oligarquía venezolana y con el interés de Washington por sacar del juego a un líder que estaba conduciendo la integración latinoamericana y las alianzas con el bloque euroasiático.

De esa consolidación de la fuerza chavista resultaron beneficiados todos los actores partidistas que la acompañaban. Partidos como el PPT, PCV y Podemos (derivado de los sectores del MAS que apoyaban a Chávez) aumentaron su caudal electoral considerablemente.

Chávez venció en las elecciones presidenciales de 2006 con el 62,57 % de los votos. Foto: EFE

A partir de entonces se inició la configuración de una nueva etapa de gobierno que comprendía la transferencia de mayores instrumentos de poder a la gente. En ese marco, Chávez anunció la consulta para una reforma constituyente.

De ahí hubo propuestas relacionadas a la reestructuración de entidades político-territoriales que encontraron resistencia dentro de las estructuras de un estado todavía marcado por un estructura pro élite.

En el mismo tiempo se convocó a las organizaciones minoritarias y a las corrientes más grandes para conformar el Partido Socialista Unido de Venezuela (PSUV).

¿Por qué Chávez llamó a ensayar un gran partido que aglutinara al chavismo? En una alocución del 19 de abril de 2007, decía:

“La masa generalmente adquiere un carácter temporal, fugaz, muchas veces la masa es amorfa (…) la masa se forma a veces en un segundo, pero igual como se formó en un segundo, desaparece también en un segundo, dice Elías Canetti, en una excelente ensayo analítico, sobre la masa y la multitud y el pueblo y el poder popular (…) hemos visto aquí en Venezuela el surgimiento espontáneo, explosivo de masas, que igual como aparecieron, desaparecieron, sin objetivo definido, algo así ocurrió el 27 de febrero de 1989 (…)

Esta es la tesis de Canetti, pero la comparto: ‘La multitud nunca morirá’, la multitud es el pueblo organizado, orgánicamente unido, enlazado de distintas razones. El partido debe contribuir a que el pueblo crezca y se convierta en mil multitudes, que jamás muera, multitudes conscientes, multitudes arrolladoras cuando tengan que serlo, no en masa momentánea”.

Sin embargo, el PPT, PCV y Podemos mostraron su desacuerdo al proyecto y decidieron no disolverse.

Por otro lado, en la derrota de la reforma constitucional de 2007, aunque enmarcada en una revolución de colores encabezada por movimientos estudiantiles de clase alta que fueron entrenados por la organización serbia CANVAS con financiamiento de la USAID, también contribuyó la fractura con Podemos, partido que hizo campaña contra la reforma.

El rumbo que siguió Podemos fue el de apoyar candidatos de oposición en 2008 (elecciones de gobernaciones y alcaldías) e inscribirse en la coalición antichavista de la Mesa de Unidad Democrática (MUD) en 2009. En 2012, por solicitud de un sector de sus miembros, el Tribunal Supremo de Justicia designa una junta ad hoc y el partido vuelve al Gran Polo Patriótico.

La alerta de una agresión imperialista desde Colombia, bajo el paradigma balcanizador de la “Media Luna” frotneriza, no impidió que el PPT y el PCV promovieran las divisiones en 2008. Foto: Archivo

La intención de que las fuerzas de izquierda acudieran cohesionadas a las elecciones regionales de 2008 respondía a un objetivo estratégico que Chávez identificó y explicó en mayo de ese año: no había que darle oportunidad a la oposición de que obtuviera una victoria en la “Media Luna” (estados Zulia, Táchira, Mérida, Barinas y Apure), pues esto significaría ceder un enclave que serviría a operaciones golpistas en el país por la vía del secesionismo.

Separatismo “a lo Bolivia… A lo Kosovo”, decía el presidente en aquella alocución, mientras en paralelo su homólogo boliviano, Evo Morales, estaba precisamente neutralizando un plan ofensivo de ese tipo, dirigido por la extrema derecha en Santa Cruz, que meses más tarde trajo como resultado la expulsión del embajador estadounidense, Phillip Goldberg, por haber financiado a los golpistas.

Durante el transcurso del año se fue discutiendo con los partidos aliados el proceso de selección de candidatos para los comicios de noviembre en Venezuela.

Hubo dos casos de divisiones del PPT y PCV que Chávez criticó con firmeza. El primero se trató de Lenny Manuitt, quien al presentarse a las elecciones primarias del PSUV aspirando a la candidatura del estado Guárico, pierde contra William Lara y decide ir por su cuenta, con el apoyo del PPT, diviendo en última instancia el voto chavista.

El otro caso ocurrió con la selección del candidato del estado Trujillo. Las reglas del PSUV establecen que para resultar vencedor en las primarias, los candidatos deben obtener más de 50% de los votos. Ni Hugo Cabezas (24%) ni Octavio Mejías (27,7%) obtuvieron el porcentaje requerido, por lo que, según el reglamento, la selección final le correspondía a la dirección del partido. El PSUV eligió a Hugo Cabezas y entonces Mejías se lanzó independientemente, respaldado por el PCV y el PPT.

Más adelante, el PPT se presentó como una “alternativa a la polarización” en las elecciones parlamentarias de 2010.

El caso de Joaquín Pérez Becerra

El periodista colombiano Joaquín Pérez Becerra, solicitado por la Interpol con código rojo por su presunta filiación con la FARC-EP, arribó a Caracas a finales de abril de 2011 sin que el gobierno venezolano hubiese sido notificado.

Acto seguido, el presidente Chávez, en cumplimiento con los tratados internacionales, hizo contacto con el gobierno de Juan Manuel Santos para deportar a Pérez Becerra, en el marco de un plan de reparación de las relaciones bilaterales dañadas por la gestión de Álvaro Uribe Vélez, que intentó forzar un conflicto bélico entre ambos países.

El gobierno venezolano asomó que el suceso pudo ser una emboscada para involucrarlo con el apoyo a grupos reconocidos como “criminales” por instancias internacionales. A Pérez Becerra, que tenía nacionalidad sueca, lo pudieron arrestar en los aeropuertos europeos, pero ni en Suecia ni en Alemania se disparó la alerta de la Policía Internacional. “Cada cual que asuma su responsabilidad”, dijo Chávez para zanjar el asunto.

Joaquín Pérez Becerra fue entregado a las autoridades colombianas en mayo de 2011. Foto: AP

En respuesta a las acciones del gobierno, el PCV lo acusó de cometer un “acto jurídicamente ilegal por el secuestro y entrega” de Joaquín Pérez Becerra. Agregó que esto “debilitaría” la unidad del chavismo “con miras a la necesaria ruta electoral victoriosa para el 2012”.

Recordemos 2017

¿Cómo se detiene una ola de violencia mercenaria que amenaza con devorar a un país entero? El presidente Nicolás Maduro encontró la vía hacia la restitución de la paz política y social en la convocatoria a una Asamblea Nacional Constituyente (ANC).

Ese año se realizaron tres elecciones: las de ANC, de gobernación y de alcaldías.

El momento ameritaba cohesión nacional, en rechazo a los meses de disturbios callejeros, crímenes de odio y ataques a los símbolos de la nación que fueron dirigidos por sectores radicales del antichavismo.

Los partidos PCV, PPT y MEP le dieron el apoyo a la candidatura del ex ministro de comercio Eduardo Samán, en oposición a la candidata del PSUV, Erika Farías, en las elecciones para la Alcaldía de Caracas, capital del país y centro neurálgico del poder político. El PPT presentó candidatos a las quince alcaldías del estado Guárico, y hubo divisiones menores por alcaldías en otros estados.

Sin embargo, las posturas divisionistas no tuvieron mayor efecto. Los resultados de cada uno de los comicios expresaron el deseo de los venezolanos a dirimir los conflictos a través de canales constitucionales. Más de 8 millones de personas eligieron a los miembros de la ANC; el Gran Polo Patriótico obtuvo 18 gobernaciones y 305 alcaldías (la gran mayoría de candidatos del PSUV).

Instalación de la Asamblea Nacional Constituyente, 2017. Foto: Reuters

Nuevamente, algunos partidos de la izquierda venezolana no pudieron, bajo estas condiciones de asedio a la República, reprimir la conducta que, como vimos en el recorrido por los años de gobierno de Hugo Chávez, ocasionó reveses en la Revolución Bolivariana.

Fuente: Misión Verdad

Foto principal: Alejandro Cegarra / AP

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