Cervantes

Hoy es el día más hermoso de nuestra vida, querido Sancho; los obstáculos más grandes, nuestras propias indecisiones; nuestro enemigo más fuerte, el miedo al poderoso y a nosotros mismos; la cosa más fácil, equivocarnos; la más destructiva, la mentira y el egoísmo; la peor derrota, el desaliento; los defectos más peligrosos, la soberbia y el rencor; las sensaciones más gratas, la buena conciencia, el esfuerzo para ser mejores sin ser perfectos, y sobretodo, la disposición para hacer el bien y combatir la injusticia dondequiera que esté.

MIGUEL DE CERVANTES
Don Quijote de la Mancha.

27 de octubre de 2016

58% des vertébrés effacés de la surface du globe depuis 1970

Tous les 2 ans, le rapport "Planète vivante" de l’ONG environnementale informe sur la dégradation grandissante des écosystèmes de la Terre. Cette année, une seule bonne nouvelle : l’empreinte écologique des pays riches diminue.

Désertification au Yemen.
Désertification au Yemen.
Hani Mohammed/AP/SIPA
CONSTAT. Les populations de vertébrés –poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles– ont chuté de 58% entre 1970 et 2012. Autrement dit, il y a deux fois moins d’animaux sur Terre aujourd'hui qu'il y a 40 ans, mais aussi deux fois plus d’hommes. Ainsi peut-on résumer le constat du World Wildlife Fund (WWF) dans sa dernière livraison de son rapport "Planète vivante". Pour arriver à ce taux de déclin, le WWF a compilé les études scientifiques portant sur l’état de santé de 3706 espèces et l’abondance de 14152 populations. Ces données ont été agrégées par les scientifiques de la société zoologique de Londres. « Ce qui est inquiétant, c’est que cette érosion de la diversité s’accélère et désormais nous sommes sur une pente de 3% annuel de déclin », s’alarme Pascal Canfin, directeur du WWF France.
A ce rythme en effet, le recul devrait être de 67% en 2020, soit 2/3 d’animaux en moins en un demi-siècle. La chute est plus ou moins marquée selon les milieux. Les scientifiques observent un déclin global de 38% des animaux terrestres, de 36% des espèces marines et surtout de 81% des amphibiens, touchés de plein fouet par la diminution importante des zones humides partout dans le monde. Les menaces sont bien identifiées : pertes et dégradations des habitats, surexploitation des espèces (chasse, braconnage, surpêche), pollutions, influence des espèces invasives et des maladies, et changement climatique, dont les effets commencent seulement à se faire sentir et devraient s’aggraver dans les années à venir.

Un indicateur de la dégradation de la biodiversité

PRESSIONS. L’indice planète vivante est régulièrement attaqué pour son manque de fiabilité scientifique. Ce sera encore le cas cette fois puisque la méthode n’a pas changé. « Mais il faut le prendre pour ce qu’il est : un indicateur qui permet de donner une tendance, et cette tendance ne va pas dans le sens d’une amélioration de la biodiversité », dit-on au WWF. Il démontre que du fait de la pression humaine, le capital naturel diminue plus vite qu’il ne peut se régénérer. Le "overshoot day", date à partir de laquelle l’Humanité a consommé la totalité de ce que la planète peut produire en un an, est de plus en plus précoce. Cette année, il a été "fêté" le 8 août. « En s’attaquant au capital naturel de la planète, l’Humanité se met elle-même en danger » martèle le WWF. Et de fait, les "services" rendus par la nature diminuent : approvisionnement en eau potable, régulation et protection des sols, rendements des récoltes, pollinisation, etc…
Utilisé dans le rapport du WWF, le Global Footprint Network traduit cette pression en nombre de planètes nécessaires pour répondre à la consommation de 7 milliards d’hommes. Si la moyenne mondiale est de 1,6 planète qui correspond à la date du 8 août, les disparités régionales sont énormes. Il faut 5,4 planètes à un Australien, 4,8 à un Américain, 3 à un Français et 0,7 à un Indien dont le niveau de vie est aujourd’hui le seul compatible avec les limites physiques de production des écosystèmes. En l’espèce, le WWF ne plaide absolument pas pour que l’Humanité subisse les conditions de vie très précaires des métropoles indiennes, mais bien d’adapter la consommation à la production. Le rapport donne sur cette question une lueur d’espoir. L’empreinte écologique des pays les plus riches a commencé à baisser. «Les efforts de diminution des déchets, de recyclage, d’économies d’énergie, d’utilisation des énergies renouvelables commencent à se percevoir », se félicite Pascal Canfin. On verra donc en 2018, lors du prochain «planète vivante » si ces tendances se confirment. En cela, ce rapport est un vrai outil de mémoire.

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